1. La gêne et le plaisir - Partie 8


    Datte: 20/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... derrière la tête, sur la pointe des pieds, pendant dix minutes. Si tu bouges, tu as trente secondes de plus. Et réfléchis à ton comportement. La déception que je lisais dans ses yeux me peina. Je n’eu plus envie de discuter. J’allais au mur sans discuter. Pendant ma punition, je l’entendis se verser un café, tirer une chaise puis s’assoir à la table de la cuisine. Il sirota son café un long moment tandis que j’endurais ma punition. Je perdis l’équilibre et étendit les bras pour me rétablir. Il frappa du plat de la main sur la table et tonna : - Trente secondes de plus ! L’effort était dur, j’étais fatiguée et affamée et je n’avais plus toute ma tête. Je brulais de colère et de honte. Je récupérais au total trois minutes de punition en plus. Il quitta plusieurs fois la cuisine. Je n’osais même pas relâcher un muscle de peur d’être punie plus sévèrement encore. Quand enfin la punition prit fin, il vint me chercher et me retira la ceinture de chasteté. L’œuf glissa hors de mon vagin. Damien m’envoya laver et sécher mes accessoires. - Ne traîne pas, dit-il sèchement. Ensuite tu iras enfiler des sous-vêtements assortis et tu mettras tes menottes de poignets et chevilles. Je me mis en route. - Réponds-moi « Oui, Maître ». - Oui Maître. Il semblait passablement énervé. Je lavais et séchais la ceinture puis m’éclipsais à l’étage. Mes fesses me cuisaient un peu et je rêvais d’une douche. Je fouillais parmi mes sous vêtements et me décidais pour un ensemble en dentelle noire. Je ...
    ... m’assis sur mon lit pour les enfiler. Soudainement j’eu très envie de mon téléphone portable et mon ordinateur, pour appeler ma famille ou une amie et geeker tranquillement. Je ne savais même pas s’il me laisserait y toucher du week end. Je soupirais et claquais les menottes sur mes poignets et chevilles. Je descendis à petits pas. En bas, il m’attendait assis sur une chaise, les mains jointes. L’appareil photo était placé sur un tabouret. - J’ai placé l’appareil photo de manière à ce qu’on ne voit que l’arrière de ton corps et mes genoux. Tu vas venir t’installer en travers de mes genoux, les mains étendues vers l’avant. Tu compteras chaque fessée. Si tu refuses, tu oublies ou te trompes je recommence depuis le début jusqu’à ce que ce soit un sans faute. Et à la fin tu me remercieras. Prends ça comme une expérience à part entière, et non pas comme un pari. On ne reste jamais indifférent à une fessée. Installée sur ses genoux, je respirais difficilement. Je sentis ses mains chaudes sur mes fesses et frissonnais. Ses mains décollèrent, je bloquais mon souffle. La première fessée retentit fort, je ressentis le choc jusque dans mon crane. Je faillis oublier de crier. - Un ! La deuxième fut tout aussi cuisante. Je pleurais en criant « deux ! ». J’agitais en vain mes mains liées. A la troisième, je ressentis au plus profond de moi l’humiliation de l’exhibition, de la fessée, de la culotte à mi-cuisse, de mon asservissement. Je criais « trois ! ». - Quel est ton seul but, soumise ? ...
«12...4567»