Campus AQP
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
intermast,
pénétratio,
amourpass,
... son baiser. L’instant d’après, nous sommes enlacés sur le grand lit en train de nous embrasser de plus en plus voluptueusement. Soudain, on tape à la porte : — Alors les amoureux, il y a un temps pour tout, vous ferez vos cochonneries ce soir. En attendant, mon lapinou, ton père est là !— Nous arrivons, maman… nous arrivons… Quand j’ouvre la porte, ma mère fait illico remarquer : — Oooh, vu vos têtes, vous faisiez des choses pas très avouables, hein ?— Il y a longtemps que Papa est arrivé ?— C’est ça, détourne la conversation ! Non, il vient juste d’arriver ! Ma mère passe devant. Nous la suivons. Elle se retourne et constate que nous sommes, Nadia et moi, main dans la main. — J’ai bien fait de vous donner cette chambre d’amis, celle-là est à l’écart des autre chambres !— Euh… Je… ce n’était pas la peine, Madame !— Je m’appelle Béatrice, petit écureuil ! Et je te signale que j’ai été jeune avant toi, et que faire des folies de son corps, j’ai connu ! Soudain, ma mère s’arrête sur place : — J’ai connu ? Pourquoi, diable, je parle au passé ? Je connais encore ! Ton père n’en a jamais assez, mon lapinou !— Si tu pouvais éviter ce genre de remarque…— Tu as honte ? Sache, mon fils, que ce soir, il y aura deux fois de la nouba dans l’air !— Je préfère ne pas relever, chère mère ! La présentation de Nadia à mon père fut nettement moins agitée que celle à ma mère. Celui-ci remarqua tout de suite que nous nous tenions par la main. Contrairement à sa femme (qui au passage, est ma ...
... mère), il évita de faire des allusions graveleuses. Bref, ce fut nettement plus calme ! Peu après, Nadia me fit remarquer : — Ton père et ta mère, c’est le jour et la nuit !— Comme nous…— Ah oui… comme nous… Mon père a très vite demandé à Nadia si elle avait une quelconque relation avec des Fovel-Masnier, elle a répondu que son père était le Président-directeur général de la boîte. Mon père l’a regardée curieusement puis a lâché : — Ah oui… à bien y réfléchir… mais ça va faire bien dix ans de tout ça…— C’est-à-dire, Monsieur ?— Ce n’est pas vous que votre père appelait affectueusement la petite sauvageonne ?— Euh… si… et même encore maintenant ! Quand, quelques minutes plus tard, mon père et moi avons été seuls dans le hall d’entrée tandis que les femmes étaient restées à bavarder dans la salle à manger, il m’a simplement dit : — Tu ne te débrouilles pas trop mal pour te dénicher tes petites amies !— Pourquoi tu dis ça ?— Elle fait partie des héritiers du groupe, et ce n’est pas rien ! Nettement plus puissant que nous, je dois l’admettre.— Si elle veut ! Parce que… Je me suis interrompu ; était-il raisonnable de lui dire qu’elle ne voulait pas de l’argent de son illustre famille ? Mon père me cloua sur place en répondant : — Parce que Mademoiselle refuse l’argent et le confort de papa-maman ? C’est tout son père, il a fait la même chose à son âge. J’en sais quelque chose, j’étais dans la même promo que lui. Amusant comme les choses bégayent…— Bégayent ?— Tel père, telle fille… et ...