1. Cora


    Datte: 22/08/2018, Catégories: ff, 2couples, couplus, copains, piscine, ecriv_f,

    ... écoutait ma voix avec attention, cherchant à atteindre le même état de détente que le mien… Elle s’était assise sur le banc humide, et prenait très au sérieux cette « séance » de relaxation… À la voir assise ainsi, en culotte, la chemisette ouverte, les joues rouges de chaleur et d’énervement, si adorable et touchante, je sentis mon entrejambe frémir… Je la surplombais, de tout près, et j’avais envie de glisser ma main entre son soutien-gorge et sa peau, sentir la pointe de son sein sous mes doigts… Je n’osais pas, j’avais peur de la faire fuir… Elle ouvrit les yeux. — Tu ne parles plus, pourtant ça marche ton truc ! me dit-elle.— Ok, on continue… Referme les yeux, respire, quand tu sortiras d’ici, tu seras toute détendue, tu verras… Alors, tout doucement, je la fis poser la tête en arrière. Ma main légère vola jusqu’à son épaule, que je me mis à masser doucement. — … Laisse retomber tes bras le long du corps, laisse ton cou se relâcher, lui dis-je… Elle se calmait, se laissait faire, et lorsqu’elle entrouvrit la bouche je compris que je pourrais faire bien plus pour elle… Des deux mains je caressais maintenant ses épaules. J’ouvris son chemisier et le fit tomber sur ses avant-bras. Elle s’en libéra tout à fait. Pour me mettre à sa hauteur, je posai un genou au sol, puis deux, et glissai en dessous ma serviette de bain encore pliée… Le sol mouillé je m’en foutais ! Le bruit je ne l’entendais plus, et elle non plus je crois. Elle s’abandonnait à moi, si bien que je n’avais ...
    ... plus peur. Elle était moite, et mes mains glissaient sur elle comme si son corps avait été recouvert de Monoï… Des petites gouttes se frayaient un chemin entre ses seins, et je les suivis des doigts. Je devinais ses tétons tendus sous la lingerie que j’arpentais. Je voulus les voir. Elle ôta son soutien-gorge, les yeux toujours fermés, et je vis se dresser devant moi sa poitrine imparfaite et magnifique. Je l’embrassai. Elle soupira. Assise droite et cambrée, Cora plaquait son sexe sur le banc. Entre les deux, le tissu de sa culotte était trempé d’eau, de sueur et de son désir, et mon visage s’en approchait… J’embrassai son ventre en massant ses fesses à pleines mains, ce qui la rendit folle ! C’est là qu’elle enleva ce qui lui restait de vêtements, jusqu’à se rasseoir toute nue, brûlante ! J’aurais voulu l’allonger et l’ausculter dans un autre confort ; plus je descendais ma bouche vers sa fente, moins j’avais d’angle et la place pour la satisfaire… Alors je soulevai doucement ses jambes afin que son bassin bascule vers mon visage. Ses odeurs mélangées m’envahirent, et comme appelée d’urgence par son sexe, je m’y jetai sans plus attendre ! Elle était si bonne à dévorer ainsi, si goûteuse, que je ne pus m’empêcher de glisser moi-même ma main entre mes lèvres chaudes et trempées. Je lui faisais avec la langue et la bouche ce que je me faisais avec les doigts… Ses jambes posées sur mes épaules se contractaient puis se relâchaient et ses fesses glissaient sur le banc inondé, alors, ...
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