1. Une biche en forêt


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, forêt, caférestau, fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, sm, initfh, fsoumisah, voiture,

    ... ?— Non.— Non qui ?— Excusez-moi, Monsieur. Je n’oublierai plus.— Deuxième faute, Myelle !— Oui Monsieur, c’est le stress. J’ai l’impression d’être nue devant tout le monde, me dit-elle si bas que je l’entends à peine.— Je ne t’entends pas ; parle clairement, s’il te plaît. Elle répète plus fort, tournant le dos à la table voisine en espérant que le couple qui s’y trouve ne m’entende pas. Ceci attire d’autant plus leur attention. — Nue ou quasi-nue, Myelle ?— Presque nue, Monsieur.— Tu vois, j’étais seul à savoir que tu te croyais nue sous ton manteau, mais je pense bien que par ta faute, d’autres le savent maintenant ! Manifestement, nos voisins semblent s’intéresser vivement à notre conversation. — Défais les deux boutons que tu as fermés pour revenir ici. Ils n’étaient pas fermés lorsque tu es arrivée : il n’y a donc aucune raison de le faire maintenant. Et lève-toi, je te prie. T’ai-je autorisée à t’asseoir ?— Non.— Non qui ?— Non, Monsieur.— Bien. Elle se relève et se tient devant moi. Son équilibre est incertain avec ses talons si hauts. Elle se tient les jambes légèrement écartées, sa croupe bien mise en valeur. Elle est à croquer ! — Mais Monsieur, on risque de voir ma poitrine…— Selon ton choix Myelle ! Nos voisins ne perdent pas une miette de notre conversation. — Tourne-toi, Myelle, que je puisse te voir et t’apprécier à ta juste valeur. Elle se tourne, et au moment où elle fait face à la table voisine, je lui dis de s’arrêter. Au moment de lui dire de continuer, ...
    ... je vois la femme assise à côté lui donner un bout de papier, qu’elle s’empresse de mettre dans sa poche. Je fais mine de ne rien voir, et garde cela pour plus tard. — Achève ton tour, Myelle, et assieds-toi je te prie. Elle continue son tour, toujours délicieusement incertaine, et vient s’asseoir. J’ai, durant ce petit tour, déposé un petit paquet devant sa place. — Oh ! Monsieur ! C’est pour moi ?— Oui, Myelle : c’est ton cadeau de bienvenue.— Merci Monsieur. Elle s’empresse de déballer le petit paquet et découvre un collier en tissu, collier qu’elle pourra mettre autour du cou, et que je pourrai glisser selon mon envie devant ses yeux. — Merci, Monsieur. Puis-je le porter ?— Oui, Myelle ; porte-le. Ce collier est la preuve de ta soumission : tant que tu le porteras, tu devras m’obéir sans discuter, tu seras mon « Elle », corps et âme.— Oui Monsieur.— Très bien ; partons et allons dans la forêt. Viens dans la voiture, et monte à l’arrière. Je la vois dans le rétroviseur, un peu inquiète peut-être, mais assez sereine et souriante. — Enlève ce manteau que nous n’avions pas prévu !— Mais…— Pas de « mais » : enlève-le, s’il te plaît. Elle commence doucement à le déboutonner totalement. Je la rassure un peu en lui disant qu’à l’abri des vitres teintées, je serai le seul spectateur. Elle ouvre le manteau et me laisse découvrir ses dessous, en dentelle blanche pour le soutien-gorge ravissant, assez transparent pour souhaiter en voir plus, et un string bien joli laissant deviner une ...