Une biche en forêt
Datte: 20/06/2017,
Catégories:
fh,
forêt,
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
sm,
initfh,
fsoumisah,
voiture,
... très légère toison manifestement préparée pour notre rencontre. — Tu es très belle ; tu dois être fière de toi : tu n’as aucune raison de cacher toutes ces belles choses. Elle rosit légèrement, contente de mes paroles et se cambre, fière de s’exposer à mon regard curieux et appréciateur. — Continue ton déshabillage, Myelle, que je te découvre complètement ! Elle semble prendre plaisir à ce petit jeu ; moi au volant et elle derrière, elle se sent quelque peu à l’abri. Elle dégrafe avec élégance ce soutien-gorge qui n’était vraiment pas nécessaire à sa poitrine ferme aux pointes dressées au milieu d’aréoles bien marquées. — Très belle poitrine, Myelle ; ton soutien-gorge n’est vraiment pas utile. Donne-le-moi. Je te le rendrai à la fin de notre séjour. Lorsque nous serons ensemble, tu ne porteras plus ni soutien-gorge, ni string ou culotte. À ma demande seulement, tu pourras porter tes jarretelles et tes bas. Compris?— Oui Monsieur. Nous arrivons à l’orée du bois juste avant la maison forestière. Je décide alors de prendre un chemin forestier avant d’aller à la maison. — Myelle!— Oui Monsieur ?— Tu n’as pas compris ce que j’ai dit ?— Oui Monsieur, j’ai compris.— Qu’as-tu compris ?— Vous m’avez dit que je ne porterais aucun sous-vêtement lorsque nous serions ensemble, exceptés bas et jarretelles si vous le demandiez.— Exact, Myelle. Et je dois attendre encore longtemps ? La voiture est maintenant arrêtée au milieu des bois. Le soleil est ...
... de la partie, le temps se prête aux canailleries ! — Myelle !— Oui Monsieur ?— Sors de la voiture et obéis à ton Maître ! Va devant la voiture et enlève-moi ce qui te reste sur toi. Elle sort doucement, regardant partout autour d’elle. Je la rassure un peu et lui dis de ne pas s’inquiéter, mais que de toute façon c’est moi qui décide, qu’il y ait quelqu’un ou personne. — Va devant la voiture et enlève-moi ce string, ces jarretelles et ces bas. Elle avance doucement, et cinq mètres devant l’auto se déshabille totalement. Je vois maintenant ses fesses joliment rebondies. Je ne reste pas insensible au spectacle ; mon pantalon me semble de plus en plus étroit !« Encore un peu de patience, jeune homme… » — Myelle !— Oui Monsieur ?— Donne-moi ces vêtements.— Voilà, Monsieur.— C’est tout ?— …— Les chaussures, Myelle, s’il te plaît.— …— Pour ne pas avoir obéi pour le port du manteau, et pour les simagrées que tu as faites en réalisant plusieurs de mes ordres, tu marcheras, pieds nus, dans cette magnifique tenue, devant la voiture jusqu’à la maison forestière.— Bien, Monsieur. Elle se met en route ; le sol n’est aucunement blessant, mais la terre et les gravillons ne favorisent pas une marche aisée. Elle se contorsionne par moments, réagissant aux imperfections du sol. Le spectacle est superbe : une biche nue au milieu de la forêt. Je ne tiendrai plus longtemps ; l’envie de la prendre dans mes bras devient insoutenable. — Myelle !— Oui Monsieur ?