1. Un homme/une trans/un homme. Trois prédateurs.


    Datte: 23/08/2018, Catégories: h, hh, inconnu, forêt, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation hsodo, confession,

    Un après-midi comme un autre. Comme un autre, c’aurait pu être vraiment le terme si ça avait été vraiment le cas. Mais la réalité fut tout autre, rien ne laissait présager une telle expérience. Le réveille-matin… encore… Je me suis mis à le détester ces derniers temps. Il n’annonce généralement rien de bon. Aujourd’hui, comme hier, une journée à l’emploi du temps prévisible. C’est bien ce qui caractérise les périodes dites de chômage, technique en ce qui me concerne. Je ne suis pourtant pas ouvrier. Que l’usine qui m’emploie puisse choisir de mettre au vert la jeune main-d’œuvre qui compose l’essentiel de ses effectifs est une chose. En revanche, qu’elle ose réserver le même sort au chef comptable en second de son établissement en est une autre. J’ai ainsi découvert un des aspects de la mondialisation. Absence de compétitivité égale pas de production, pas de production égale pas d’ouvrier, pas d’ouvrier égale pas de fiche de paye et par suite : comptables inutiles. Le premier mois fut simple, reposant. Le second fut empreint d’une certaine lassitude. Le troisième amena l’inquiétude en même temps que ma boîte était mise en liquidation judiciaire. Quatre, cinq, six mois suivirent, le nez dans l’alcool je ne me rappelle plus vraiment. Ma femme ne semblait plus s’intéresser à moi, nous nous levions, déjeunions ensemble. Elle me demandait sournoisement ce que je comptais faire de ma journée. Nous en restions là mais le soir venu elle comptait les cadavres de bouteilles et ...
    ... m’en faisait reproche. Moi, je sais ce qui me plaisait : je me masturbais. Au début je l’ai fait très naturellement, c’était une manière sympa de faire s’écouler le temps plus vite. Rapidement l’imagination puis l’envie m’ont manqué, alors j’ai allumé le PC, j’ai découvert le porno du net, sans limite… L’alcool m’a permis de me décomplexer, j’ai tenté les webcams, dévoré des récits érotiques de toute sorte, visionné des heures de vidéo plus trash les unes que les autres et découvert de nouveaux fantasmes. Je me voyais tantôt dominateur tantôt dominé et lorsque ma virilité faiblissait, je rebuvais un coup. Des alcools de plus en plus forts que je tenais de mieux en mieux. Je devenais pervers. Il m’arrivait parfois, lassé des cyber-contacts, de m’aventurer hors de chez moi à la recherche de sexe réel. Je choisissais généralement des lieux de forte affluence tels que les centres commerciaux pour me casser les dents sur toutes les jeunes beautés qui y passaient, écœurées qu’elles étaient par mon haleine avinée. C’est à cette période que je me suis le plus senti glisser. Je rêvais de les forcer… Le réveille-matin… encore… mais cette fois la journée allait être différente. Je me levai et me saoulai puis me recouchai après avoir mis mon réveil à dix-huit heures. Ma femme s’absentait ce jour là et j’avais prévu d’aller chercher les putes où j’étais sûr d’en trouver : au bois. Contre de l’argent, je savais qu’elles se soumettraient. À mon arrivée dans un bois très réputé de la région ...
«1234»