Un homme/une trans/un homme. Trois prédateurs.
Datte: 23/08/2018,
Catégories:
h,
hh,
inconnu,
forêt,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Masturbation
hsodo,
confession,
... parisienne, je ne pouvais que constater la longue file de véhicules stationnés sur le bas-côté, je n’étais pas le premier à vouloir me vider. J’avais pu lire sur les forums qu’on y trouvait tout type de prostitution mais que, pour les femmes, il fallait faire la queue, tant pis ! J’en avais trop envie. Ne sachant pas trop comment m’y prendre, je décidais de suivre un drôle de type à la capuche relevée sur la tête qui semblait savoir où il allait. Une vingtaine de mètres en arrière, je m’enfonçais à sa suite dans les sous-bois. Il marchait vite et je peinais à suivre, mes pieds s’accrochaient dans la broussaille et je manquais de trébucher plusieurs fois. L’ombre du bonhomme s’éloignait de plus en plus vite alors que je faisais un bruit monstrueux pour m’extirper des ronces et branchages dans lesquels je m’emmêlais. Lorsque je repris mon chemin quelques secondes plus tard la nuit semblait avoir avalé mon prédécesseur. J’avançais lentement à la recherche du moindre signe de présence. Un bruit métallique attira soudain mon attention. Le bruit était régulier et relativement aigu. Je choisis dès lors de me diriger vers celui-ci. À quelques mètres de là, je distinguai une ombre adossée contre un arbre. Je m’approchai et constatai qu’un homme était en train de se branler sans moindrement se cacher. Nous étions au bord d’un chemin, à une trentaine de mètres de la route. Sa ceinture claquait à chaque mouvement de son poignet tandis que son attention semblait absorbée par un tout ...
... autre spectacle. À proximité, je distinguai une pute aux formes diablement excitantes, en train de se faire besogner par derrière. Son client terminait sa besogne dans un soupir bruyant et tous deux se réajustèrent sans parler. Quant à moi, je sentais ma trique prête à exploser dans mon jean. En définitive, j’avais mis peu de temps à trouver celle qu’il me fallait. J’ai donc attendu que le client et ma professionnelle tant espérée rejoignent le chemin pour alpaguer la dernière: — Salut, je cherche un plan, t’es dispo ? Elle me répondit d’une voix de fumeuse à l’accent sud-américain: — C’est trente euros, chéri,cuarenta por mi culo. Grande, fine, les traits fins, le teint halé, une poitrine franchement mise en valeur par un décolleté terrible, de longues jambes chaussées de grandes bottes en cuir, surmontées d’une extra-mini jupe qui enveloppait un cul superbe, à faire bander un saint. J’avais naturellement entendu parler des travelos du bois mais sur l’instant, l’hypothèse ne me vint même pas à l’esprit. Rien ne me donnait à penser qu’elle en était. Un vrai canon ! Je bandais déjà. Elle fit demi-tour et nous ramena à son point de départ. Sans me laisser la moindre initiative, elle se mit à genoux et entrepris de sortir ma queue de son écrin. Le cliquetis métallique reprit de plus belle. Je balayai la zone du regard et trouvai mon voyeur. Je lui fis signe de s’approcher. Qu’il me voie la baiser ! Après tout, j’avais payé… Pendant qu’elle me suçait de manière mécanique je compris ...