1. Un homme/une trans/un homme. Trois prédateurs.


    Datte: 23/08/2018, Catégories: h, hh, inconnu, forêt, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation hsodo, confession,

    ... quelque chose : son cou, il y avait une bosse, une pomme d’Adam, légère, discrète. Contre toute attente, ça ne m’a pas bloqué, au contraire cela m’a excité. J’ai passé ma main derrière sa nuque en caressant ses cheveux et je me suis enfoncé plus encore dans sa gorge. Ses yeux se sont levés vers les miens, ils brillaient d’une lueur différente. Sa main s’est insinuée entre mes cuisses, fermées et entravées par mon jean qui était à peine descendu au-dessus des genoux. Elle m’a massé les couilles ; elles étaient pleines. Ça lui a plu ; les bruits de succion se sont accélérés ; sa langue s’est faite plus agile. Moi je ne voyais plus que sa grosse paire de seins. Je n’entendais plus les cliquetis métalliques, je ne voyais plus les voitures passer a moins de trente mètres, j’essayais juste de ne pas jouir avant d’avoir goûté à son cul. Tout s’est passé rapidement. D’une main ferme et douce à la fois, elle m’a retourné contre le tronc sur lequel je m’étais appuyé. J’ai senti sa langue s’immiscer entre mes fesses, c’était doux et humide à la fois. Étais-je propre ? La pensée me vint à l’esprit mais je crois bien que j’étais le seul que cela inquiétait… Je m’abandonnai, j’adorai, elle en profita… Elle s’est lentement redressée en marmonnant quelque chose dans sa langue dont j’ignorais tout, je crois qu’elle m’insultait et que ça l’excitait. Elle a farfouillé dans son sac, j’ai pensé aux capotes. Peu après j’avais le cul enduit d’un gel froid. Lorsqu’elle commença à forcer mon petit ...
    ... trou, j’ai eu mal, vraiment mal, j’ai tenté de me raidir mais elle m’a bloqué la nuque avec son avant-bras tout en murmurant des mots avec une voix très douce. Je me suis laissé faire. De sa main droite elle m’a tendu une petite fiole qu’elle m’a forcé à respirer en bloquant ma narine avec son pouce. J’ai à peine eu le temps de me sentir partir. Ça a dû durer une ou deux minutes. Pendant ce temps, elle poursuivait son entreprise et bientôt me pilonnait le cul franchement tout en parlant. Elle faisait du bruit et moi je jouissais. Mon plaisir était moins physique que cérébral, du fait d’être là, maltraité comme une pute. Elle m’a murmuré à l’oreille avec son accent: — Tu l’aimes ma queue ? J’étais ailleurs, je lui ai répondu : — Défonce-moi… plus fort… plus fort…— Ça te plait, qu’on te mate en train de te faire baiser ? Oh putain ! Elle avait raison ! Il était là l’autre taré qui nous matait. Curieusement, ça ne me gêna pas. Normal ! C’était l’ambiance… Elle reprit : — T’aimes-ça la bite? T’aimes-ça, sucer? Je lui répondis entre deux râles de douleur : — J’adore…— Suce-le ! Ordonna-t-elle en désignant notre mateur. Le mec s’approcha, il devait bien avoir cinquante ans. Une bonne tête d’hétéro, père de famille ou un truc du genre. Il n’a rien dit, il a juste pris ma main et l’a posée sur sa queue… Je l’ai laissé faire. Il avait l’air vicieux. Par derrière, ma chérie s’activait de plus en plus fort, ne faisant des pauses que pour me donner son flacon à sniffer, ce qui prolongeait ...