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La Malédiction
Datte: 23/08/2018, Catégories: fh, bizarre, forêt, Oral fsodo, fantastiqu,
... unes que les autres. Il poussa la porte dans un état d’excitation que son bas-ventre avait du mal à dissimuler. Il la découvrit complètement nue, allongée jambes écartées dans l’attente, faiblement éclairée par sa lampe de chevet. Elle ondulait déjà de plaisir, les mains serrées au-dessus de sa tête sur le montant du lit. Il prit cela pour une forme de soumission. Il ne pouvait deviner qu’ainsi Anna réprimait le tremblement de ses doigts. Anna reçut sa langue avec un bonheur inouï. C’était vraiment ce qu’elle voulait. Il avait envie d’elle depuis si longtemps qu’elle savait qu’il saurait l’aimer et ferait d’elle son jouet. Écrire les post-it affichés sur la porte l’avait mise dans un état d’excitation incroyable. Elle s’offrait à lui et il ne se priva pas d’en profiter. La lumière dans la chambre la rassurait tout de même. Il entra enfin en elle lentement en l’embrassant dans le cou puis sur la bouche. Sur ses lèvres, Anna goûta son parfum intime et s’en délecta. Il aspira la pointe de son téton, triturant l’autre du bout de ses doigts. Puis il changea. Ne laissant aucun répit à la pointe de ses seins. Anna finit par se détendre et lâcha prise totalement. Cet intermède lui faisait du bien. Il la retourna bientôt et la prit sa ménagement. Comme elle le lui avait demandé. Il ne rechignait visiblement pas à lui obéir. La poitrine d’Anna tanguait sous les assauts de son amant. Il allait et venait en elle, puissant, vainqueur, généreux. Il râlait de plaisir. Elle l’accompagnait de ...
... ses gémissements et parfois de ses cris. Il s’appliqua, sans retenue, à remplir le contrat des post-it. Elle lui offrit la plus intime de ses issues. Il fut assez doux pour s’y glisser et suffisamment vigoureux pour en user au-delà du raisonnable. Elle aima la douleur qui martela ce plaisir-là. Ce fut alors qu’ils étaient tête-bêche, occupés à goûter chacun à l’intimité de l’autre, que le pied d’Anna bouscula la petite lampe de chevet. Les yeux clos, allongée sur son amant, elle ne s’aperçut pas tout de suite que l’ampoule s’était éteinte. Détendue, offerte, bienveillante, elle sentit alors une main étrangère glisser sur son dos tandis qu’une autre malaxait doucement ses fesses. Un doigt glissa dans son sillon jusqu’à sa petite rosette et y pénétra. La raideur de son amant installée dans sa bouche, Anna sourit car elle venait de comprendre. Malheureusement, la lampe se ralluma et la sensation dans son dos et en elle s’évapora. La giclée épaisse qui s’épancha sur sa langue ramena Anna à la réalité du moment. Cette nuit-là, elle se réveilla. Il devait être minuit et le rêve dont elle émergeait était peint de douceur. Il faisait doux dehors. Un peu trop chaud dans la maison. Son amant s’était éclipsé sur la pointe des pieds. Elle se leva et fit quelques pas dans son jardin, une lampe à la main. Le père Anselme avait raison. La peur nourrit la souffrance. Anna laissa glisser sa nuisette au sol et foula de ses pieds nus le gazon fraichement coupé. La fraicheur de la nuit glissait ...