1. Les amants magnifiques


    Datte: 23/08/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, froid, intermast, facial, Oral pénétratio, amourdura, amourpass, consoler, lieuxpubl,

    ... incandescente. Après quelques pas, ils se retrouvèrent sous le porche maudit. Mais ce soir est un tout autre soir : brûlant malgré le vent glacial. Aucune lumière ne vint les accueillir et ils s’en trouvèrent bien aise. Ils passèrent le porche et Yvan, fou de désir, plaqua Evelyne contre le mur, l’embrassa fougueusement, mêlant sa langue à la sienne. Ils ne décollèrent pas pendant plusieurs minutes, minutes durant lesquelles, les mains du jeune homme allèrent s’inviter sous le manteau d’Evelyne. Il avait enfin la réponse aux questions qui le taraudaient. Elle ne portait rien, hormis un porte-jarretelles et les bas-couture qui lui avaient donné les premières suées. Il quitta ses lèvres, baisa son cou, descendit jusqu’à la naissance de ses seins en la léchant et trouva l’aréole qu’il mordilla avec fureur. Presque avec violence vu l’agitation qu’il ressentait dans ses entrailles, semblable à une transe. Evelyne soupirait, gémissait de plaisir. Elle qui depuis la pénible rupture ne faisait que passer ses nuits à se masturber, avec en tête les mots crus de son amant d’alors et les moments de passion sulfureuse partagés avec lui. Celui même dont elle retrouvait les élans débordants en cette soirée d’hiver rude et venteuse. Il lui donnait chaud, une chaleur douce et embrasante en même temps, cette fièvre qui investit vos endroits les plus secrets. Elle sentait son entrejambe la brûler, avide de caresses longtemps inexistantes. Le plaisir était à nouveau bien actuel et à son ...
    ... comble. Ils renaissaient de leurs cendres. Yvan s’accroupit et effleura le nombril d’Evelyne. Elle y avait déposé sans nul doute un soupçon de parfum quelques heures plus tôt, qui combiné à son odeur corporelle, finissait de mettre son homme dans tous ses états. Il glissa un doigt dans sa fente trempée de désir contenu, le tourna, l’enfonça, la fouilla. Il mit deux puis trois doigts et tambourina au fond de son vagin. Elle gémissait plus fort, le souffle se faisait plus sourd. Il retira ses doigts, tira sur ses lèvres, les malaxa entre ses doigts et enfin les mordilla. Evelyne regardait son bel étalon et lui regardait l’extase dans laquelle il la mettait. Leurs yeux brillaient, la fougue se lisait dedans. La fièvre était en eux. Il la pénétra avec sa langue et continua de tirer sur les lèvres moites. Elle avait soif alors il se releva et l’embrassa à nouveau avec rage, fusionnant salive et mouille, ce qui donnait à ces baisers un goût subtil d’âpreté sauvage. Ils continuèrent à mélanger leurs langues pendant qu’il la fouillait de ses doigts. Plus elle gémissait, plus il rentrait ses doigts brutalement en elle. Simultanément, Evelyne, dégrafa le ceinturon, fit glisser la fermeture Éclair du jean et sortit le membre viril droit comme un i qu’elle connaissait si bien, le malaxa, le branla doucement, puis accentua la cadence ; l’autre main étant occupée à caresser les couilles, pleines d’un jus chaud et crémeux qu’elle avalerait sûrement plus tard. Nombre de fantasmes de ces derniers ...
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