Balade à Lille
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
amiamour,
lieuxpubl,
... aussi grand que celui de Paris, mais dans le temps, on pouvait y trouver beaucoup de choses avant que les grandes surfaces ne s’installent pour de bon…— Il y en a beaucoup par ici ?— Le Nord est la patrie de l’enseigne Auchan. Des grandes surfaces, il y en a beaucoup par ici : il y a quand même quasiment deux millions d’habitants dans le coin, sur Lille Métropole.— Ah oui… Un peu irritée, j’interviens : — Et moi, j’ai mal aux pieds !— Tu as l’art de t’intégrer à la conversation, ma chérie !— Je suis d’accord avec ton mari, ma puce !— C’est ça, liguez-vous tous les deux contre une pauvre femme !— Là-bas, tu vois le machin vert ? C’est le square du Tiot Quinquin ; tu pourras t’y reposer à l’ombre des arbres, ma pauvre femme…— Encore tout ça à marcher !?— Tu veux rire, il y a cent mètres, au pire deux cents !— C’est déjà trop ! Vous pourriez me porter, non ?— Bonne idée ! Et ensemble, mes deux hommes esquissent le même mouvement ; surprise, je recule précipitamment : — Eh oh, stop ! Je rigolais ! Et m’armant de courage, je franchis les derniers mètres qui me séparent du square. La chanson du Tiot Quinquin est pour ainsi dire l’hymne nordique. Tout le monde ici connaît le refrain ; mais pour le reste, je suis incapable de citer le moindre vers ! Un peu comme la Marseillaise… Valentin en profite pour photographier la statue, puis nous nous dirigeons vers le square qui est juste derrière. Certains bancs sont déjà occupés ; il y a même un jeune homme qui dort sur l’herbe. Nous ...
... nous dénichons un coin un peu écarté à l’ombre. Je me jette sur le banc afin d’ôter mes chaussures ! J’aurais dû mettre des chaussures plus confortables, plutôt que de frimer avec mes haut-talons bleus ! Tandis que je me repose avec Valentin à mes côtés, accroupi, mon homme prend des photos de nous. C’est alors que je réalise que, vu l’angle, il doit avoir une certaine vue agréable ! — Valentin, tu peux nous prendre en photo, s’il te plaît ? demande mon mari.— OK, pas de problème !— Prends-les accroupi, tu cadreras mieux. Et en plus, mon légitime en rajoute ! Pascal s’assied à côté de moi, Valentin s’en allant se mettre près de la pelouse. Il se retourne vers nous, s’accroupit puis marque un temps d’arrêt : il en profite pour admirer mon entrejambe dévoilé, puisque j’ai les jambes assez écartées et que, comme il le sait déjà tactilement, je ne porte pas de petite culotte. Mais entre voir et tâter, il y a une nuance. Après avoir maté posément un certain temps, il prend quelques photos puis il revient vers nous : — Belle vue ! dit-il calmement.— Je ne te le fais pas dire ! répond tout aussi placidement mon mari. Avec ces deux zigotos à mes côtés, je sens que la journée va être spéciale ! Le soleil monte dans le ciel ; la chaleur s’installe de plus en plus, et aucune brise ne souffle dans ce jardin public ! J’enlève mon gilet ; de toute façon, les autres personnes sont au loin. Valentin semble bien profiter du spectacle, ce qui m’amuse. Mais il fait toujours aussi chaud. J’en suis ...