1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... arriver en France, point de vue musical. Sans parler de certaines petites choses impensables dans notre beau pays hexagonal…— Comme ? Je sursaute ; mon homme vient de me mettre la main aux fesses, par-dessus ma jupe, mais je ne serais pas étonnée qu’il aille me visiter par-dessous ! — Sandwiches, pizzas et aussi chambres à l’étage…— Chambres à l’étage ?— Oui ; tu devais mettre des jetons afin de verrouiller la porte, un peu comme les cabines de toilettes publiques. Néanmoins, si tu aimais une certaine façon de voir les choses, tu n’étais pas obligé de mettre des jetons pour fermer la porte…— Je vois… répond, songeur, Valentin. Sans complexe, mon mari glisse sa main sous ma jupe et annonce : — Nella a vraiment les fesses toutes fraîches !— Ah bon ? répond Valentin, un peu surpris.— Tu veux vérifier ? propose posément Pascal.— Je peux ? me demande Valentin. Pour toute réponse, je lui souris en rosissant un peu. Une main chassant l’autre, c’est au tour de mon dijonnais de tester si mes petites fesses sont si fraîches que ça. Il écarquille un peu les yeux quand il découvre que je n’ai pas de petite culotte sous ma jupe en jean. Mais il s’y habitue très vite, et comme visiblement il aime bien tester et retester, il s’attarde longuement sous ma jupe. Ça me rend toute chose de sentir ses doigts me caresser au milieu de tous ces passants qui nous entourent. Au regard de certains, je comprends qu’ils ont vu et compris : ça m’émoustille encore plus, même si je ne suis pas très rassurée ...
    ... ! Sereinement, Valentin caresse voluptueusement encore quelques instant mon petit cul, sa main épousant mes rondeurs, s’égarant même à l’orée de ma fente, avant de confirmer : — En effet, de belles petites fesses bien fraîches !— C’est bien ce que je t’avais dit. Mais il garde sa main sous ma jupe quelques secondes avant de la retirer. Je suis toute rouge à présent, avec des tas de palpitations, et de drôles de choses dans le ventre. J’adore ces situations imprévues tout en les craignant un peu, un mélange de plaisir et de peur… — Tu es toute rouge, ma puce !— Oh, ça va !— Et je parie que tu es en train de mouiller !— Tu ne m’as pas habituée à parler comme ça, mon lapin !— Tu ne m’as pas habitué à mettre ma main sous ta jupe !— Oh, ça va ! Je ne mouille pas : je transpire !— Oui, oui, on le dira comme ça ! Ceci dit, je viens de découvrir que tu as en effet un beau petit cul ! Et je suis sincère ! Pour toute réponse, je rougis encore un peu plus ! Ce qui m’étonne, ce n’est pourtant pas mon style, mais la situation doit certainement y être pour quelque chose ! Puis nous nous engageons dans la rue Nationale. Une fois de plus, Pascal explique que cette rue est particulièrement grande, mais pas la plus longue de Lille. Moi, je reprends petit à petit mes esprits. Nous zigzaguons parmi les nombreux passants. Souvent, je dois réajuster mon gilet pour ne pas trop en dévoiler, car ci et là, il y a quand même des policiers. Nous longeons à présent le magasinLe Printemps. — Il n’est pas ...
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