Balade à Lille
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
amiamour,
lieuxpubl,
... sans problème de dur… Je vois distinctement qu’il serre les dents, mais ne fait aucun effort pour chasser mon pied vagabond. Tandis que du coin de l’œil je vois revenir Pascal et nos verres, j’en profite éhontément pour le caresser, montant et descendant le long d’une tige bien raide que je sens à travers le tissu. Pascal s’installe, distribuant nos verres, puis nous discutons tous les trois sans que je ne cesse de taquiner mon vis-à-vis. À un moment, Valentin serre les jambes pour bloquer mon pied, puis boit la moitié de son verre d’une seule traite. Je m’exclame, innocemment : — Eh bé, tu avais soif !— Plutôt… répond-il laconiquement. Et la conversation continue. Il finit par desserrer les jambes ; j’en profite pour venir plaquer tout mon pied contre son sexe, et j’y vais de bon cœur. Perversement, je caresse, je frôle, je câline cette colonne toute dure, épousant bien de mes orteils sa forme arrondie et moulée par un fin tissu. Je suis particulièrement flattée quand je sens sous mes doigts de pied de fines palpitations ; je suis fière de moi. Mais ce n’est peut-être pas tellement l’endroit pour qu’il arrive un « accident » dans le caleçon de mon lapin. C’est avec regret que j’arrête mon petit cinéma, au grand soulagement visible de Valentin. Mais je retiens que s’il y a une prochaine fois, j’irai jusqu’au bout ! C’est mon côté vicieuse assumée ! Mon mari en sait quelque chose : j’ai fait pire avec lui ! Comme je suis bonne et généreuse, je le laisse refroidir un peu. Puis, ...
... une fois mon verre fini – car je suis toujours la dernière dans ce genre de situation – je propose : — On y va ?— OK, on y va. Tandis que nous nous levons, Pascal se penche sur moi et murmure : — Il est moins résistant que moi, je me trompe ? Sur le coup, je ne sais pas quoi répondre ; visiblement, mon mari savait ce que je faisais sous la table. Je pensais avoir été discrète ; et bien non, c’est raté… Pour échapper un peu au soleil, nous traversons la gare TGV de gauche à droite. Arrivés au bout, nous prenons l’escalier afin de revenir sur le boulevard. Accrochée aux bras de mes deux hommes, nous devisons de tout et de rien. Là-haut, le soleil tape dur ; il fait même étouffant ! Croisant divers passants et passantes, je surprends quelques regards intrigués, et ça m’amuse beaucoup ! J’en profite même pour me presser encore plus sur les bras de mes deux chevaliers servants, leur faisant bien sentir le doux volume de mes seins. Avec un certain succès car Valentin semble perdre parfois le fil de ses idées : il n’est donc pas si insensible qu’il veut bien le dire ! Après le passage piéton, à gauche le commencement de ce parc dont m’a parlé un collègue de travail qui va souvent manger là le midi. C’est à peine à 200 mètres de mon boulot, mais j’ignorais complètement son existence ! Nous nous engouffrons dans une allée assez nue. Il fait chaud, trop chaud. Je m’inquiète un peu : — Il n’y a rien, ici !— On longe une ferme, on dirait… Ah, là-bas au fond à gauche, on dirait qu’il y a ...