1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... quelque chose ! Eh oui, un peu plus loin, un petit parc avec plein d’arbres s’offre à nous. Pas bien grand, avec quelques coins et recoins. Devant nous, une allée en escalier ; Pascal passe devant, appareil photo en main. Arrivé en bas, il se retourne pour nous prendre, Valentin et moi, en photo. Ouvrant largement mon gilet afin de mettre en valeur ma poitrine sous le top bleu transparent, je pose avec mon visiteur. C’est alors que mon coquin de lapin se glisse derrière moi et s’empare de mes seins à pleines mains ! Bien sûr, mon mari shoote la scène. Valentin en profite pour soupeser mes melons (comme il les a appelle quelquefois au téléphone) et les presser un peu pour vérifier s’ils sont vrais de chez vrai ! Bien sûr qu’ils sont vrais, et cent pour cent naturels ! Moi, j’aime bien, même si c’est un peu cavalier… Encore plus cavalier sera la main aux fesses qui suivra pour me demander d’avancer ! Je lui fais remarquer : — Tu te dévergondes franchement, mon lapin !— Dis que ça te déplaît, ma puce !— Je n’ai pas dit ça ; mais pour quelqu’un qui se targue d’être un pur gentleman, un homme parfait sous tous rapports, je trouve qu’il y a un gros laisser-aller !— L’air du Nord ne me vaut rien…— Je sais : le relâchement des mœurs est proportionnel à l’éloignement ! Pourtant, il n’y a même pas cinq cents kilomètres entre Lille et Dijon ! Faut pas demander le jour où tu seras nettement plus loin !— Ça dépendra aussi de si tu seras là ou pas…— Je vais finir par croire que j’ai ...
    ... décidément une mauvaise influence sur toi ! Nous nous descendons l’escalier pour plonger dans ce petit parc. Au fond, nous avisons des arbres un peu à l’écart. Une fois arrivée sur la pelouse, j’enlève mes talons-aiguilles ; j’adore marcher pieds nus dans l’herbe. Parti une fois de plus devant, Pascal choisit un endroit et s’y installe en s’asseyant dans l’herbe : — Ici, c’est bon. Et vu les autres arbres qui sont dans l’axe, on ne sera pas trop visible…— OK, va pour ici ! Mon mari a toujours eu l’œil pour ce genre de choses… Je me demande où il a bien pu apprendre ça ; à moins que ce ne soit son côté pervers qui explique tout ceci ! J’ôte mon gilet et je l’étale au sol afin de m’asseoir dessus. Bien sûr, mes hommes se font un plaisir de ne rien perdre de mes mouvements. À peine installés, ils viennent m’encadrer, mon mari à ma droite et mon ami à ma gauche. Complètement allongée, les bras derrière la tête, je prends un peu de repos, mes pieds dans l’herbe. Faussement innocemment, mon mari caresse ma jambe. Il est très vite imité par Valentin. Je me laisse faire. Pourquoi serais-je contre deux hommes rien qu’à moi ? — Tout va bien, Messieurs ?— Impeccable !— Pas mieux !— Eh bien, tant mieux ! Je me redresse, je jette un petit coup d’œil circulaire, puis posément mes deux mains se posent sur les braguettes de mes voisins. Sans me démonter, je tâtonne un peu, je serre même un peu les doigts pour vérifier la rigidité, puis je déclare doctement : — Hum hum, je suis contente : vous ...
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