1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... du bien de sentir une caresse fraîche entre ses cuisses ! Et aussi plus haut ! Car bien sûr, j’ai oublié de mettre une petite culotte, rien que pour faire bisquer Valentin, et j’ai hâte de voir sa tête quand il s’en apercevra ! Sans parler du fait que mon top bleu est transparent… Soudain je lève la tête, sentant une présence : c’est mon mari qui en profite, de loin, pour prendre quelques photos. Avec lui, rien ne se perd : il s’arrange toujours pour garder une trace. C’est pour quand nous aurons quatre-vingt-dix ans, me dit-il, pour se faire des souvenirs ! Je souris, et je me prête avec joie au petit jeu de l’objectif, minaudant juste un peu, par pur plaisir… Quelques instants après, Pascal vient me faire voir les photos qu’il a prises avec son appareil numérique. Oui, en effet, je ne suis pas trop moche dessus. Moi qui ne suis jamais trop bien sur les photos, je me trouve tous les défauts de monde. Mon mari, qui me connaît, affirme péremptoirement : — Sur celle-ci, tu es très bien, avec le décor par derrière, ça fait un contraste qui te met encore plus en valeur.— Oui, c’est vrai ; mais sur d’autres, je ne suis pas à mon avantage.— Tu es toujours à ton avantage, ma chérie ; et ce, depuis des années !— Tu n’es qu’un flatteur !— Tu sais très bien que tu me fais toujours envie…— Tu n’es pas normal : tu n’es qu’un obsédé, Zamour, un grôôôs obsédé !— De toi ! Et sans fioriture, se penchant sur moi, il pose sa main sur mon top, saisissant un sein à pleine main et il m’embrasse ...
    ... goulûment. Je ne déteste pas ces démonstrations de me savoir ainsi désirée, même si je ne suis plus toute jeune… Pascal s’enhardit nettement plus en glissant son autre main sous ma jupe, caressant ma cuisse et remontant plus haut. Comme je ne proteste pas, il en profite pour câliner du bout des doigts mes lèvres intimes, ce qui me fait frissonner. L’instant d’après, un doigt se glisse posément dans ma fente. Il ôte ses lèvres de ma bouche : — Déjà humide, ma chérie ?— Enlève ta main de là !— Et pourquoi ?— Aujourd’hui, ce n’est pas ton jour : c’est celui de Valentin ! Cet argument ne porte pas puisque son doigt continue à suivre les contours internes de ma fente mouillée. — Je croyais qu’il avait décidé de te résister ?— Ah oui ? Tu vas voir s’il résiste longtemps ! À ton avis, pourquoi je me suis habillée comme ça ?— Uniquement pour me plaire, voyons ! N’es-tu pas ma femme chérie et adorée ?— Dans tes rêves ! Pour toute réponse, il s’active odieusement autour de mon petit clitoris qui n’a franchement pas besoin de beaucoup d’application pour me faire décoller, tellement la situation générale m’excite. Mais il faut que je résiste, car si je jouis maintenant, je sens que je vais en redemander tout de suite et ce n’est ni l’heure ni le moment. Sans parler des passants qui risquent de circuler devant nous ! C’est avec une pointe de regret que j’écarte fermement sa main : — Pas maintenant, Zamour ! Ce soir, si tu veux…— Si je tiens jusque-là ! Il n’est même pas encore dix heures ...
«12...456...34»