1. Balade à Lille


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fhh, couplus, jardin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, amiamour, lieuxpubl,

    ... monde et nous avons encore trois voitures avant d’arriver à la sienne. J’ai toujours autant de mal avec ce fichu clavier sensitif. Concentrée sur celui-ci, j’avance à petits pas, sans bien voir où je mets les pieds. Soudain, je sens comme une grande présence. Je sursaute : Valentin est juste en face de moi ; un pas de plus et je mettais mon nez dans sa chemise toute blanche ! — Coucou, ma puce !— Euh… coucou, mon lapin ! C’est vrai qu’il est grand ! Je savais qu’il frôle les cent quatre-vingt-dix centimètres, mais c’est nettement mieux de le constater ! Et qu’il est aussi bien mignon, nettement plus en vrai que devant une caméra. Sa chemise blanche à carreaux bleutés et son pantalon gris clair lui vont très bien ! Fidèle à mon habitude, je le scanne de haut en bas, puis je réalise que j’ai peut-être oublié quelque chose… — Bienvenue à Lille ! Et je lui fais deux gros bisous, un sur chaque joue. Je me recule un peu ; il a un grand sourire bien craquant. Une idée fuse dans ma tête, oui, non… Je me tâte, et puis flûte ! — Pour le déplacement ! Et je dépose sur ses lèvres un furtif baiser. Visiblement, il ne s’y attendait pas ; il met un certain temps à réagir. C’est alors que mon mari en profite pour le saluer et lui demander s’il a fait un bon voyage. Moi, légèrement en retrait, je continue de le regarder de la tête aux pieds tandis qu’il en fait de même pour moi, lorgnant quand même assez fortement la bande bleue de mon top transparent, bien encadrée par mon gilet noir. ...
    ... Première constatation : je ne le laisse pas indifférent, en mode réel. — C’est vrai que tu es grande…— Toi aussi ! Tu es même légèrement plus grand que mon mari.— C’est vrai que tu es mignonne…— Tu n’es pas mal non plus… pas le même genre que mon mari, mais pas mal non plus !— C’est vrai que tu as de belles et longues jambes…— Tu n’as pas tes yeux dans tes poches, toi !— C’est vrai que tu as une belle poitrine… que tu ne caches pas beaucoup…— Tu n’as vraiment pas tes yeux dans tes poches, mon lapin !— Les lapins sont réputés pour leur bonne vue, ma puce… Nous rions ; c’est bien mon Valentin, le même que devant la cam ou au téléphone. Je sens que ça va être une bonne journée ! Tandis que nous prenons l’escalator, il me dit : — Tu m’avais dit que tu t’habillerais sexy ; je ne pensais pas que ça le serait autant !— Quand je dis, je fais !— Tu veux toujours me faire « craquer », comme tu l’as dit ?— Plus que jamais !— Oh oh, il va falloir que je me tienne sur mes gardes !— N’essaie même pas, ce sera du temps perdu : tu craqueras !— Tu es bien affirmative !— Je le sais, c’est tout ! Intuition féminine ! Puis nous parlons de son voyage tandis que nous traversons la gare vers un autre escalator qui nous amènera sur le boulevard et vers la chaleur. Nous sommes dehors, le soleil tape déjà bien fort. Pas trop de monde ; je me demande où sont passés tous les voyageurs qui sont descendus du train. Il faut dire que nous étions les derniers sur le quai, ils ont eu le temps de s’éparpiller dans ...
«12...678...34»