Travaux d'artiste (2/2)
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
couplus,
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... vas-y. Oui. Oui ! Elle ne pouvait décidément se taire ! Je vis son clitoris, rose pâle, gonflé et luisant, et le titillai du bout de la langue. Lucie frissonnait et continuait à m’encourager de la voix. Elle prononçait plus de mots sous une minute de caresses que Charline en quatre heures d’extase ! C’était inhabituel, surprenant et excitant, même si par moments j’aurais préféré un peu de silence, moi qui avais appris à interpréter chacun des mouvements, des soupirs et gémissements qu’une femme comme Charline pouvait utiliser pour faire comprendre ses désirs et manifester son plaisir en toute discrétion. Me souvenant de certains détails de la scène que ma chérie m’avait relatée, je sortis mes doigts luisants de mouille et en posai un sur l’anus de Lucie, le caressant doucement pendant que mes lèvres entouraient son petit bourgeon gonflé et aspiraient légèrement. — Oooh, râla-t-elle à mi-voix. Oui, mets ton doigt. Je soulageai la succion sur son clitoris et maintins mon doigt là où il était, continuant de l’autre main à lui peloter les seins. — Oui, mets ton doigt, répéta-t-elle, en soulevant les hanches et en poussant sa rosette sur l’extrémité de mon index. Vas-y. Suce-moi et mets ton doigt ! Charline n’avait pas menti. Elle aimait ça. Je me demandai si elle aimerait tout autant que j’y mette autre chose, sachant que les femmes affectionnaient généralement assez peu les pénétrations anales. Salivant abondamment, je descendis la bouche le long de la fente ruisselante, puis ...
... plus bas encore, et posai le bout de la langue sur la petite fleur en appuyant légèrement pour en fouiller les replis. Lucie se cambra, amena les mains sous ses fesses pour les écarter et s’ouvrir à la caresse buccale. Je l’entendais lancer des« oh », des « ah » et des« oui, oui, vas-y » qui en disaient long sur son état d’excitation, accroissant en même temps mon désir et la tension derrière ma braguette. Mes doigts mouillés revinrent au contact, remplaçant ma langue. Mes lèvres happèrent à nouveau son bourgeon, pendant que mon médius s’enfonçait doucement dans le petit trou rond. Je sentais la chair douce et chaude envelopper mon doigt tandis qu’il pénétrait la rondelle de ma partenaire. — Oh, oui ! Fais-moi jouir ! Je lui pinçai un téton, puis l’autre. J’aurais voulu avoir quatre mains pour maîtriser cette boule de nerfs et lui arracher des hurlements de plaisir ! J’enlevai doucement le doigt, l’humidifiai à nouveau et l’introduisis plus profondément dans son anus, tout en lui suçant le clitoris avec plus d’intensité. — Oooh ! C’est bon, là ! Oh ! Oui ! Oh, oui ! Mmmm… Elle ne hurlait pas, mais n’aurait pas pu se taire. Je sentis son orgasme sous ma bouche et autour de mon doigt, tandis qu’elle ramenait brutalement ses jambes vers moi et serrait ma tête entre ses cuisses. Les oreilles bouchées, j’entendis néanmoins qu’elle parlait pour exprimer son plaisir. Nous restâmes quelques secondes immobiles, et quand Lucie desserra les guibolles et posa les pieds par terre, j’ôtai ...