1. Travaux d'artiste (2/2)


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, couplus, intermast, Oral fdanus, fsodo, échange, entrecoup,

    ... — Tu… tu t’es déshabillée ? Comme ça ?— Oui, répondit-elle. Comme ça. Enfin, non, pas exactement comme ça. Je me suis retournée et je me suis éloignée de deux pas, j’ai enlevé mon tablier, mon slip et mon soutif, et puis je suis revenue près d’elle complètement à poil, juste pour lui montrer.— Juste pour lui montrer ? Je balançais entre l’envie d’envoyer une remarque ironique et celle d’éclater franchement de rire, mais choisis le prudent compromis de me taire et d’écouter Charline reprenant son récit. J’ouvris brusquement les yeux, une insupportable tension dans mon pantalon m’arrachant à l’envoûtement qui m’avait gagné peu à peu. Charline était appuyée contre moi, son tablier déboutonné en haut et retroussé jusqu’au nombril. Ma main enserrait un de ses seins, sous le bonnet du soutien-gorge dont une bretelle avait glissé sur son épaule dénudée. Elle avait une main enfoncée dans sa culotte, l’autre serrait son ventre, et elle disait encore tout doucement « Oh oui, c’était bon », en se caressant et en tremblant de tout son corps. Je respirai plusieurs fois profondément, tâchant de maîtriser les pulsions qui se bousculaient dans mon bas-ventre, éloignai prudemment les doigts de ma braguette et finis par me mordre la langue pour créer diversion. Je tentai de penser à autre chose qu’au sexe, comme à la tonte de la pelouse par exemple, mais c’était difficile avec Charline dans cet état et à demi vautrée sur moi. Elle ouvrit les yeux et me regarda. — Je ne sais pas si c’est vrai, ...
    ... tout ça, murmurai-je, mais tu racontes vachement bien !— Ah oui ? Tu doutes de moi ?— Non, mais…— Elle s’appelle Lucie. Qu’elle s’appelle Lucie, Cunégonde ou Sophie-Antoinette ne changeait rien à l’affaire, mais j’évitai de le mentionner. Charline pivota pour m’embrasser, et en profita pour glisser une main vers ma braguette. — Holà ! Ça te fait de l’effet, ma petite histoire, dirait-on. Elle s’appuya franchement sur moi, colla sa bouche à la mienne et s’empara de mon membre, par-dessus l’étoffe. C’était pire que je ne le redoutais. Quand elle déboutonna mon pantalon et que ses doigts s’aventurèrent sur mon slip, j’étais déjà au bord du naufrage. Lorsqu’elle abandonna mes lèvres pour poser les siennes sur mon pénis au travers de mon caleçon, je chavirai immédiatement. La chaleur et l’humidité de sa bouche et de sa langue suffirent à provoquer l’explosion qui évacuait en même temps la tension et la fatigue de la journée. Charline accompagna ma jouissance de quelques caresses supplémentaires en continuant à m’embrasser voracement jusqu’à ce que je sois calmé après les derniers spasmes. Elle tourna ensuite vers moi un visage souriant. — Alors, tu nous la fais en éjaculation précoce ? ironisa-t-elle.— Ejac… non, mais !— Je t’ai à peine touché, et hop ! Je suffoquais. — Dis donc, je te rappelle que tu as joui trois fois, avant ça.— Trois fois ?— Ben tiens ! Deux fois dans ton histoire, et une fois ici, et je devrais tenir le coup alors que madame s’offre le luxe de trois orgasmes ...
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