1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... semblait, dans un sot élan de galanterie, essayer de me cacher à la vue de sa chef. Cet innocent tentait même de cacher son braquemart énorme – même au repos – avec ses deux mains. — Et vous auriez une solution pour que vous puissiez reprendre où vous en étiez ? Je savais ce qu’elle voulait. Je le sentais, comme si je pouvais humer, de là où j’étais, l’odeur de sa cyprine qui s’était répandue dans sa culotte alors qu’elle nous observait de loin. Car j’étais sûre qu’elle nous avait épiés depuis de longues minutes déjà. Je la soupçonnais même d’avoir mis ses mains dans sa culotte et de s’être masturbée en nous regardant. — Je pense qu’il faut le faire bander de nouveau. Et je suis sûre que s’il nous voit nous lécher l’une l’autre, il va bander comme un taureau immédiatement…— C’est en effet envisageable. Elle s’approcha du comptoir et écarta, d’un geste brusque, le mec qui semblait ne plus savoir où disparaître. Je me levai de la caisse et, debout en face d’elle, je soulevai la jupe de son tailleur. Elle portait des dessous en dentelle. Je mis la main sur son entrejambe. Mon instinct ne m’avait pas trompée : sa culotte était détrempée. Je ne fis aucun commentaire, mais j’écartai son boxer d’un doigt et je me mis à genoux. Je commençai à la lécher, à taquiner son clitoris avec ma langue, à palper ses fesses, fermes et bien rondes, entre mes mains. Je taquinai son clito, j’effleurai ses grandes lèvres, je contournai ses replis. Je ne m’aventurai pas dans sa chatte : je voulais ...
    ... qu’elle me supplie de le faire. Je voulais qu’elle rabatte son caquet. Je continuai ainsi quelques instants. J’en oubliais presque qu’il y avait un homme à côté de nous. Je sentais qu’elle mouillait de plus en plus, je sentais ses frissons et ses tremblements, comme si elle essayait de résister au plaisir que je lui donnais avec ma langue et mes mains qui écartaient de plus en plus ses fesses. Elle se pencha soudain au-dessus de moi. — C’est bon, tu as gagné… me dit-elle dans un souffle. Je m’écartai d’elle, de sa chatte. Elle défit les boutons et la fermeture éclair de sa jupe et celle-ci tomba à ses pieds. Elle l’enjamba et me fit signe d’aller vers le comptoir. Elle aussi semblait avoir oublié son employé, qui avait abandonné toute idée de cacher son sexe et qui commençait à se caresser. Je m’allongeai sur le comptoir et écartai les jambes : elle comprit immédiatement et, sans un mot, vint se mettre à quatre pattes au-dessus de moi. — Retourne-toi. Elle m’obéit et me présenta ses fesses. Sa chatte était au-dessus de mon visage. Je lui écartai les grandes lèvres avec mes deux mains et repris où j’en étais, en la titillant avec ma langue. Elle était à quatre pattes au-dessus de moi et alla plonger sa langue dans ma courte toison. Elle semblait prendre autant de plaisir à jouer avec mes replis, mon clito, que j’en avais à jouer avec les siens. Elle n’avait pas ma propension à se répandre, mais elle était agréablement humide. Je regardai sur le côté : le « proprio » se branlait ...
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