1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    8 juillet 2011 J’ai une réelle passion pour les chaussures. Ou, peut-être, devrais-je écrire : je souffre d’une irrépressible passion pour les chaussures. J’aimerais pouvoir en acheter une nouvelle paire chaque semaine, voire chaque jour. J’aimerais pouvoir flâner dans les magasins et essayer toutes les paires qui m’attirent, des heures durant. J’aimerais ne pas avoir à subir les regards en biais des vendeurs, qui se disent : « La blonde, là, au fond, tu as vu, elle est là depuis au moins deux heures ! Elle arrête pas d’essayer des pompes… elle a toujours rien acheté… et, regarde-la bien : je suis sûr qu’elle était déjà là la semaine dernière… » Oui, ils ont raison : la semaine dernière, je passais d’un rayon à l’autre, essayant une paire de belles sandales argentées à talons compensés là, enfilant de fins escarpins noirs à talons aiguilles ici, glissant mes pieds dans de magnifiques bottines à boutons hors de saison… Sans doute que mon obsession pour les chaussures n’est pas normale. Cela expliquerait pourquoi les gérants des magasins, qui m’ont repérée, sont aussi hostiles vis-à-vis de moi ! Et pourtant, je ne fais rien de mal : j’aime tant les chaussures, comment peuvent-ils me soupçonner de les abîmer ? Heureusement, j’ai découvert – il y a quelques semaines de ça – un endroit différent. Un petit magasin dans lequel je peux m’égarer, des heures durant, extirper telle paire de chaussures et en éprouver la souplesse, remettre la boîte en place et en prendre une autre à ...
    ... côté… sans que le propriétaire ne semble s’en offusquer ni ne me fasse la moindre remarque. Je vois bien ses regards, je vois bien qu’il m’a vue. Mais il ne me dit rien et m’accueille à chaque fois avec un « bonjour » qui semble sincère… Aussi suis-je retournée là, encore une fois, aujourd’hui, en sortant du travail. J’avais envie de glisser mes pieds dans de jolies chaussures toutes neuves, admirer la beauté qu’elles m’offraient, sans contrepartie, et les reposer sagement dans le rayon avant de rentrer dans ma maison, vide de mon compagnon parti en vacances. Le magasin était quasiment vide. Au rayon « enfants », une maman tentait désespéramment de faire mettre des sandales de plage en plastique à son fils. Le petit avait raison, à mon avis : le rouge fluo était hideux. Plus loin, au fond du magasin, là où sont relégués les soldes, un homme semblait perdu devant le choix qui s’offrait à lui. Je saluai le propriétaire au passage, d’un signe de tête, et me dirigeai vers les magnifiques escarpins que j’avais remarqués la dernière fois – deux jours auparavant seulement ! Ils étaient toujours là, en bas du rayon. Un seul des deux, que j’enfilai de suite, était en exposition – et à ma taille. Je m’accroupis et tentai de dégager la boîte. J’avais hâte de mettre le deuxième. La boîte semblait coincée, j’avais beau tirer, elle ne sortait pas du rayon. Alors que j’étais toujours accroupie, me débattant avec la boîte à chaussure rebelle, je sentis soudain se coller contre moi un autre ...
«1234...14»