1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... corps. Les quelques mots : — Du calme ma belle… je pense que je peux t’aider… me furent murmurés au creux de l’oreille. Je n’eus pas à tourner la tête pour reconnaître la voix du propriétaire. — Elle ne veut pas venir et tu veux les essayer tous les deux ? Je vais t’aider. Mais tu me laisses faire, d’accord ? J’avais tellement besoin d’enfiler ces escarpins, ils étaient tellement beaux ! Je ne pouvais qu’accepter. Je ne pouvais que hocher la tête. — Mets-toi debout et laisse-moi faire… J’obéis. Ce n’est qu’une fois debout que je me rendis compte de ce qu’il s’était passé, tout occupée que j’étais à enfin mettre cette putain de chaussure… Alors que j’étais accroupie, il avait soulevé ma courte robe, et avait glissé un doigt dans l’élastique de ma culotte en dentelle. Lorsque je me relevai, la culotte resta accrochée à son doigt, descendant le long de mes jambes. Je vis ma culotte sur mes chevilles, désemparée. Et je regardai l’escarpin orphelin, à mon pied gauche. Je n’eus pas une seconde d’hésitation. D’un léger geste des pieds – toujours déséquilibrée à cause de l’absence du deuxième escarpin – je finis de poser ma culotte. Abandonnée sur le sol, elle faisait à la fois pitié et envie. Le propriétaire l’empocha rapidement. Une fois ma culotte disparue dans la poche de son jean, il me fit un sourire encourageant. Et il décoinça la boîte et sortit l’escarpin tant désiré. Il prit mon pied droit et, délicatement, mit la deuxième chaussure, me rééquilibrant ainsi. Le ...
    ... propriétaire se remit debout. J’admirai mes deux pieds, si hauts, si beaux, si vertigineux dans ces escarpins talons aiguilles. J’en oubliai ce qu’il venait de se passer. Le propriétaire me ramena à la réalité. Il était debout à côté de moi. — Ils sont pour toi tout le temps que tu te laisses faire… Et je sentis une de mes fesses, nue, prise à pleine main. Sa main n’était pas rugueuse, pas rude, pas désagréable. Au contraire. Pour moi qui subissait l’absence de mon compagnon depuis plus d’une semaine, sentir cette main sur ma fesse, la pétrissant et faisant ainsi béer ma chatte, c’était… frustrant. Je me rendis compte, rougissante, que j’en aurais voulu plus. Mais ce connard se barra vers la caisse, où la maman avait enfin décidé que, malgré les récriminations de son fils, les sandales rouge fluo en soldes étaient parfaites pour l’usage qu’il en aurait cette année. Je fis quelques pas, un peu sonnée, dans le rayon. Je ne savais trop que faire. M’avait-il dit que les escarpins – tellement hors de prix ! – étaient à moi ? M’avait-il dit autre chose ? Je n’étais plus sûre de rien… Je testai la marche, sur ces échasses qui me faisaient des jambes sublimes – d’autant plus longues que ma robe était courte. Par curiosité, arrivée devant un miroir, je me retournai et me penchai : effectivement, si je souhaitais ramasser quoi que ce soit par terre en me pliant en deux, quiconque était derrière moi avait une vue imprenable sur ma chatte et ma rondelle. Je continuai mes déambulations dans le ...
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