1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... embauchoir ? Je fis « oui » de la tête. Qu’est-ce qu’il croyait ? Je suis une telle passionaria des chaussures, bien sûr que je sais ce qu’est un embauchoir ! Quelle question ! Comme si mon hochement de tête ne lui suffisait pas, il mit devant mon nez une de ces formes en bois ciré que l’on met dans les chaussures pour les assouplir. Elle était encore dans son emballage. J’étais à la fois tétanisée et impatiente qu’il me prenne. J’imaginais sa queue dure et tout aussi impatiente que ma chatte. J’entendis le bruit du plastique qui se déchire. Je sentis soudain qu’il glissait l’objet entre mes grandes lèvres. Sans aller plus loin. — Tu sais que l’avantage avec un embauchoir, c’est qu’il s’écarte autant que tu veux ? Je sentis ma chatte s’ouvrir et attendre le gode improvisé avec avidité. Avec tant d’avidité que j’eus un mouvement du bassin en arrière et que je m’empalai un peu sur la forme en bois. Elle était lisse mais pas glissante. Le propriétaire l’enleva un instant et frotta mon clitoris et mes grandes lèvres avec ses doigts. Il ne put que constater que je mouillais déjà beaucoup… Il passa donc l’embauchoir sur mes grandes lèvres, sur mon clito, sur la raie de mes fesses, histoire de bien l’humecter de ma mouille. Et il me l’enfonça dans la chatte. J’eus un grand cri. Il prit mes hanches à deux mains et poussa l’embauchoir un peu plus avec son bas-ventre. C’était jouissif de me faire prendre par cet objet improbable, par cet inconnu, sans que je ne sente même l’odeur de ...
    ... sa queue, de son corps. Il était doux mais impérieux, et je me laissai empaler allègrement, peu à peu, avec une envie de voir jusqu’où l’objet pourrait aller. Le proprio lâcha mes hanches et passa ses doigts sur ma chatte, qui commençait à dégouliner. Il humecta ma rondelle. Et il la pénétra avec deux doigts, commençant un mouvement de va-et-vient qui augmentait mon excitation. De son autre main, je le sentis manipuler l’embauchoir : je compris vite qu’il était en train de l’agrandir, ma chatte était de plus en plus écartelée. Je ne répondais plus de rien. L’embauchoir n’était pas désagréable, au contraire, mais j’avais envie d’une grosse queue, aussi large que ce machin, qui me pilonne la chatte. Il ne semblait pas pressé de me la donner, le salaud… … Ses mains étaient de nouveau sur mes fesses. Il les écarta et, de ses deux pouces, enfonça encore un peu plus l’embauchoir. Je retins un petit cri. L’embauchoir me remplissait la chatte jusqu’à la courbure du faux pied. C’était énorme. C’était bon. Mais il manquait à mon goût de relief, de mouvement, de vitalité. — Enlève ce truc et mets ta queue à la place, lui dis-je d’un ton impérieux. Il ne répondit rien, il s’accroupit derrière moi. Il me fit écarter les jambes davantage. Il se mit à genoux entre mes pieds toujours magnifiquement chaussés et commença à me lécher les grandes lèvres. Il remua un peu l’embauchoir qui me perforait la chatte. Le flot de mouille ne tarda pas à me couler le long des cuisses. — Tu es à point. Il se ...
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