1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... magasin. J’arrivai vers le rayon « soldes », où le pauvre garçon – il n’avait pas plus de vingt ans – semblait plongé dans des abîmes de réflexion. Être aussi grande que lui sur mes talons, ressentir l’air frais de la climatisation sur mes grandes lèvres, tout cela était grisant. Je n’avais pas bu une goutte d’alcool et pourtant j’avais la tête qui tournait. Je regardai le mec – pas moche, mais pas exceptionnel non plus – et pris une paire de chaussures en taille 42 : — Celles-ci seront parfaites pour vous… Il me récompensa d’un sourire béat et se dépêcha d’essayer les chaussures. Je continuai ma balade dans le magasin. Penchée au-dessus du rayon « collants / bas », alors que je cherchais des nouveaux bas couleur chair pour les fraîches soirées estivales, je sentis une main se poser sur la raie de mes fesses. Je savais que c’était le propriétaire. Je n’osais plus bouger. De peur qu’il n’aille plus loin ? Ou de peur qu’il ne s’en aille ? Allez savoir… Je vous mens : je savais très bien. J’avais peur que tout cela ne soit qu’un jeu et qu’il ne retourne sagement à sa caisse. J’aurais perdu ma jolie culotte en dentelle et j’aurais juste eu le droit de retourner chercher mes vieilles – d’une semaine – chaussures dans le rayon des escarpins dans lequel je les avais lâchement abandonnées. Je n’avais pas envie de cela. J’avais envie de ses doigts dans ma chatte, j’avais envie de sentir une queue dans mes orifices frustrés de l’absence de mon mec. Je lui fis comprendre en creusant ...
    ... un peu plus le dos et en poussant mon cul vers lui. Il comprit immédiatement. D’autant plus que mes grandes lèvres commençaient à être humides de désir. Il n’eut qu’à les effleurer d’un doigt pour s’en assurer. Je n’en pouvais plus. J’étais sur ses escarpins immenses, le cul en l’air, lisant, sans parvenir à lire, le prix des bas, et ma robe me couvrait tout juste les fesses. Il aurait défait la ceinture de son jean et enfoncé sa queue dans ma chatte d’un grand coup, je n’aurais pas dit autre chose que « oui » et j’aurais sans doute répandu ma mouille entre mes pieds. Mais encore une fois, il enleva son doigt posé sur ma chatte et se barra vers la caisse. Je me relevai, m’assurai que ma robe était bien descendue sur mes fesses et regardai vers la caisse. Le désespéré des soldes avait finalement pris la paire de chaussures que je lui avais choisie et était en train de payer. J’étais donc seule avec le propriétaire dans le magasin… Je n’eus pas beaucoup à attendre. Le dernier client n’avait pas franchi la porte qu’il était déjà de retour vers moi. Nous ne prononcions pas un mot. Parler n’était pas nécessaire, et sans doute que cela aurait tout gâché. Alors que j’étais face à lui, il me retourna. Sans qu’il me dise quoi que ce soit, je me pliai en deux et m’accrochai au rayon en face de moi. J’avais la tête plus basse que le dernier rayon. Je remarquai que le propriétaire pouvait voir la porte d’entrée – et surveiller l’intrusion d’un éventuel client. — Tu sais ce qu’est un ...
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