1. Parenthèse


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, ffh, grossexe, vacances, magasin, chaussures, Masturbation Oral 69, fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... commençait à me faire mal, à être irritée à force d’être défoncée par cette queue hors de proportion. Je retenais mes cris depuis de longues minutes, ayant peur d’être entendue de la rue, mais un long râle s’échappa quand je jouis violemment, finissant d’inonder le comptoir. Il se retira sans un mot, sans avoir joui. Je regardai de nouveau sa queue, ses couilles. Je les voulais encore plus dans mon cul, après cet orgasme hors de proportion aussi. Sans rien dire, il s’en alla dans le rayon dans lequel il avait commencé à me baiser. Je ne bougeais pas, mes jambes tremblaient et j’étais pantelante. Il revint : il était allé chercher l’embauchoir… Je sus immédiatement ce qui m’attendait. Il fallait qu’il prépare ma rondelle comme il avait préparé ma chatte. Je lui pris l’embauchoir des mains et je le posai à l’entrée de ma rondelle. Elle était déjà ouverte, accueillante, en demande d’être remplie. Je passai l’embauchoir sur ma chatte, je l’y remis pour le lubrifier suffisamment. Je me godai un peu avec. Il était froid après la queue bouillante du mec, cela atténua le feu de ma chatte – nul doute que je ressentirai pendant quelques jours les allers et retours de sa queue dans mon vagin… Le propriétaire se branlait en me regardant me masturber. Quelques gouttes de sperme perlaient au bout de sa queue. Je me penchai en avant et les léchai. Je lui tendis l’embauchoir, prêt à être englouti par ma rondelle. Puis je me mis à quatre pattes sur le comptoir. Il posa de nouveau ...
    ... l’embauchoir à l’entrée de ma rondelle, comme je l’avais fait quelques instants auparavant. Il le poussa et, de mon côté, je reculai mes fesses pour m’empaler peu à peu. La douleur était lancinante mais jouissive. Je gémissais de plaisir. Passer la courbure du pied m’arracha un cri, je crus que mon cœur avait lâché et qu’il m’avait fissuré la rondelle. Mais une fois en place, c’était exactement ce que mon cul réclamait. J’étais remplie comme j’aime avoir le cul rempli. Il fit un peu bouger l’embauchoir. Je ne pouvais plus retenir mes cris de jouissance, désormais. La peur d’être entendue s’était évanouie. Il joua encore un peu avec l’embauchoir dans mon cul, tout en me caressant rudement le clitoris. Il semblait deviner, sans que j’aie à lui demander, ce qui me ferait le plus jouir. Il récoltait ma mouille sur sa main. Il retira doucement l’embauchoir de mon cul : j’avais l’impression qu’il m’arrachait les entrailles – et en même temps, cette sensation douloureuse était tellement bonne… Il posa l’embauchoir à côté de ma jambe. Je posai ma tête sur la surface froide du comptoir et mes mains ainsi libérées de mon poids allèrent écarter mes fesses, pour que ma rondelle s’ouvre encore davantage. Il cracha un peu de salive dans sa main et réhumecta sa queue. Il posa son gland sur ma petite fleur. J’eus soudain peur et ma rondelle se resserra. Il passa un bras autour de moi, se pencha au-dessus de moi et me murmura à l’oreille. — Tes chaussures te font des fesses magnifiques quand tu marches, ...
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