Le sacrifice
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
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couple,
profélève,
grosseins,
forêt,
jardin,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
aventure,
... Souvent l’image de monsieur Haritika hantait ses fantasmes et la plongeait, parfois, dans une délicieuse nostalgie. Mais elle s’en voulait lorsqu’elle remarquait les tendres attentions de son époux. Bras tendus, Jigoro avançait lentement en se nourrissant du visage séraphique de sa femme dont les yeux s’embuaient de bonheur. Sa verge coulissait dans la fente humide aussi graduellement qu’un serpent rampe dans la forêt vierge. Les cuisses ouvertes, accueillantes, Mikyo basculait à présent le bassin en rythme pour recevoir son mari jusqu’au fond de son être. Les bras frêles de la Japonaise serraient le corps Jigoro et elle lui murmurait des mots d’amour. Dehors : le chaos. La furie des éléments ne semblait guère se calmer. La mort rôdait comme les hyènes grouillantes autour d’une proie malheureuse qui tarde à sombrer. Mais les gémissements du couple couvrirent un moment les déferlantes qui s’abattaient sur le Blue Royal. Jigoro mordillait les petits tétons dressés de sa femme. Sa course s’était accélérée et ses coups de boutoir faisaient tressauter les modestes seins ronds qu’il suçait avec gourmandise. Les mains de Mikyo agrippèrent les fesses de son mari et elle enfonça ses ongles dans la chair en même temps que son bassin s’agitait de manière incontrôlée comme un oiseau sortant de sa cage à la recherche de sa liberté. Ils jouirent ensemble, en parfaite union. Le plus beau moment que Mikyo ait jamais vécu fut cet instant d’extase complète et absolue qui se partagea entre ...
... l’orgasme le plus fort et la mort sonnant le glas à son hublot. ~~nOe~~ Le lendemain de la crémation, presque deux cents personnes remplissaient la plage trempée par les sept jours pendant lesquels les éléments s’étaient déchaînés. Quelques enfants naïfs jouaient pendant que d’autres pleuraient en déambulant à la recherche de leurs parents. À quelques centaines de mètres du rivage, l’immense carcasse du navire, à moitié disloquée, se dressait comme le dernier vestige d’un monde perdu. Jacques se leva. Il dormait depuis plusieurs heures près de Catherine, dont la chemise déchirée laissait apercevoir un sein imposant posé dans le sable. Il regarda un instant Kwun, au loin, qui n’avait pas quitté de toute la nuit sa position de méditation. Après avoir réveillé quelques hommes qui se rassemblèrent autour de lui, Jacques prit la parole. — Nous devons préparer notre survie. Je ne sais pas par quel miracle nous en avons réchappé, mais je sais que si nous sommes organisés, ensemble, nous réussirons à vivre. Seuls Jigoro et Vladimir comprirent réellement ce que disait le Suisse. Les autres, encore hébétés par toutes les péripéties qu’ils venaient de subir et de l’inconfort de leur nuit, acquiescèrent mollement. Jacques demanda à Jigoro de fabriquer de larges radeaux pour récupérer, sur le Blue Royal échoué, des outils, des couvertures, de la nourriture et des médicaments. Le Japonais partit avec six hommes dans la forêt. Puis Vladimir fut chargé de trouver des médecins, des infirmiers, ...