1. notre voyage de noces (3)


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    C’est le silence qui nous réveille ; pas de bruit, pas de vibration, le bateau est à l’arrêt ; il est en effet prévu une sortie 4/4 sur Union ; Béa émerge doucement et brusquement se met à pleurer « j’ai honte de m’être laissée faire par ses deux mecs, je t’ai trompé et je le regrette, pardonne-moi, mais je te jure qu’il n’y a que toi qui compte » il me faut beaucoup de persuasion pour la calmer et je lui assure que je ne lui en veux pas, qu’elle ne m’a pas trompé, puisque c’est moi qui l’ai envoyé ; que je me suis branlé en pensant à elle, que j’ai pris beaucoup de plaisir à gouter sa chatte après et que si au début, j’ai eu l’idée d’être cocu, c’est un cocu consentant et heureux qui la serre dans ses bras ; et que de plus, j’espère que notre premier projet va se réaliser ; et que j’ai toujours envie de la voir jouir dans les bras de ce beau ténébreux ; « c’est vrai, tu me le jures ? Tu ne m’en veux pas ? « Pas du tout bien au contraire et maintenant vas te préparer pour la journée ». Vite le petit déjeuner et déjà nous sommes conviés à débarquer ; les véhicules nous attendent et par plaisir (cela arrange certains) je prends le volant ; à ce moment, passent devant nous deux jeunes ; Béa me serre la main, le visage tendu ; je comprends qu’il s’agit de ses deux partenaires ; un bisou lui redonne un peu le sourire ; puis l’organisateur nous demande si nous acceptons deux passagers ; avant de répondre, un coup d’œil en retrait ; une dame (un peu plus de 60) et notre ...
    ... personnage grisonnant ; mon regard accroche l’aval de Béa ; nous voilà sur la route ; au fur et à mesure elle se détend ; il faut dire que nos compagnons sont très agréables, la femme petite rigolote pleine d’humour et l’homme se révèle plein de connaissance, un vrai guide embarqué, très courtois, sans aucune allusion à la précédente rencontre C’est à la nuit que nous rentrons (il fait noir à 18h) et pour nous remercier de la conduite et nous pour les remercier de leur compagnie, nous décidons de prendre un verre avant le repas ; fatiguée la femme se retire et nous nous retrouvons tous les trois, un punch à la main ; finalement c’est plusieurs verres que nous sirotons et les effets commencent à se faire sentir chez Béa ; l’alcool l’a rend amoureuse et elle se blottie contre moi, et quand arrive une conversation plus coquine, elle y prend part, jouant parfois avec le feu dans ses réponses ; Jean (c’est son prénom)en profite et nous invite à passer la soirée ensemble, afin de mieux faire connaissance et ‘’ plus si affinités » ; c’est elle qui accepte, lui proposant même de manger à notre table. Le repas me semble interminable ; Béa est très excitée et Jean, toujours aussi galant la couvre de compliments, mais cette fois ne semble pas faire d’appel ‘’du pied’’ ; à la fin du repas, très naturellement, il nous propose de boire une coupe de champagne, au bar ou dans sa cabine ; c’est moi qui réponds « allons chez vous nous y serons plus tranquille » Je sais que je viens d’accepter une ...
«1234»