1. notre voyage de noces (3)


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... situation qui peut devenir soit dangereuse car Béa bave devant lui, soit ouverte vers d’agréables et désirés moments ; me prenant par le bras, il nous entraine joyeusement, entourant Béa par les épaules. « Je vous rejoins, je vais me changer « il est vrai que nous sommes encore en tenue de baroudeur. Jean en profite pour me sonder, je pense qu’il hésite encore sur ses projets — Ta petite femme est adorable et je dois dire qu’elle me fait de l’effet — Je l’ai appris hier soir ; elle se souvient de ses danses avec toi — Elle t’a raconté ? La coquine dire ça à son mari ; je ne l’ai pas forcé, mais j’ai apprécié son téton et ses globes bien rebondis. Elle a apprécié ? « Si j’en crois son état après, je pense que oui et moi aussi d’ailleurs » soudain je réalise que je viens de lui faire comprendre que je suis consentant. «Vous avez déjà eu ce genre de relations ? « Non ! » « Cela vous tente ou simplement elle aime se faire draguer sans aller plus loin » Je n’ai pas le temps de répondre, car Béa vient de revenir et je reste sans voix ; elle a revêtu un corsage très transparent, laissant découvrir sa poitrine à travers, d’autant plus que seuls deux boutons sont fermés et qu’à chaque mouvement un sein apparait dans l’échancrure, la pointe étant colorée par du rouge carmin ; ainsi qu’une jupette de tennis croisée sur le devant et sans attache en dehors de celle de la taille Je dois dire qu’à sa vue, mon sexe prend de l’ampleur ; discrètement je change de position pour cacher le ...
    ... tableau ; Jean n’en perd pas une miette, son regard est brillant de désir ; il l’a fait assoir sur un pouf, ce qui fait écarter le pan de sa jupe ; d’où je suis, je peux voir son entrecuisse, mais j’ignore si elle a mis un string. Le verre à la main, Jean s’est installé à côté de moi, le visage tourné vers elle ; négligemment elle bouge, favorisant l’écart du tissu et bientôt il peut voir sa fente, rosée, vierge de toute toison ; je décide de lancer le combat et me déplaçant derrière elle, je lui caresse les épaules, puis descendant un peu plus bas, c’est un sein que je sors et que je titille ; la bosse chez Jean est bien visible, mais il ne bouge pas ; les derniers boutons cèdent et je la dénude, laissant apparaitre sa fière poitrine ; sa respiration s’est accélérée, ses yeux se sont fermés, docile, elle attend que je la livre ;lui n’a toujours pas bougé, seule sa main caresse le sexe sous le tissu ; la jupe est bientôt dégrafée et lui écartant les jambes je lui offre la vue sur la vulve écartelée d’où coulent des perles de cyprine « C’est notre voyage de noces et pour son plaisir et le mien, je te l’offre, prends-la, fais-la jouir, sa chatte t’attend depuis hier soir » la prenant par la main je la fais étendre sur le lit et lui écartant les cuisses, je lui fouille la chatte ; mes doigts ressortent pleins de sa jute ; « maintenant elle est à toi » enfin il bouge, passant ses mains sur son corps, des seins jusqu’au bas ventre et se mettant à genoux, il dépose un baiser sur la vulve ...