notre voyage de noces (3)
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... offerte ; à son contact, elle se cambre, gémit, remonte ses jambes sur ses épaules, laissant à notre vue une chatte béante et luisante de cyprine pour eux je ne compte plus ; sa langue lui titille le clito, puis pénètre dans l’antre offerte ; il la suce, la mordille et sous la caresse buccale, elle se tord de plaisir « Vas-y suce moi, putain ta langue me fait du bien, mets un doigt dans ma chatte c’est bon..... » je suis surpris qu’elle se livre ainsi ; il la branle, deux doigts dans la chatte, tout en lui suçant le clito ; ses gémissements prouvent son plaisir et les claquements de sa langue traduisent l’humidité de la grotte investie ; j’ai le ventre qui me brule et j’ouvre ma braguette pour libérer mon membre tendu. Il a tôt fait de faire tomber le pantalon et un sexe arqué apparait ; il est bien membré, par très long mais sa grosseur est démesurée, un vrai pilon ; elle lui retire sa chemise et quand il se penche sur elle, ses lèvres se posent sur les siennes pour un baiser passionné ; à nouveau la pointe de jalousie, mais j’essaie de me maitriser, je lui ai offerte et je dois l’assumer. C’est elle qui prenant son sexe à pleine main le présente contre sa chatte, et d’un coup de rein elle le fait pénétrer entre ses lèvres ; mais le calibre est gros et quand à son tour, il s’enfonce, elle ne peut retenir un oh de surprise ; les parois s’ouvrent sous la poussée et elle vibre sous le joug « chéri, il est gros, il me déchire le ventre,...... sa bite me remplit... putain ...
... c’est bon » ; il la lime doucement, mais sa queue s’enfonce jusqu’aux couilles à chaque fois ; sa possession est totale, puissante, il la remplit de tout son sexe ; Béa gémit et porte sa main sur son pubis ; ses doigts entourent la bite qui la possède tout en caressant son clito ; lui l’embrasse tendrement sur les seins, dans le cou, sur les lèvres ; assis sur le pouf, je crève de jalousie, ma Béa possédée, mais surtout se livrant passionnément à son amant ; je les regarde, hébété, quand soudain elle me tend la main « vient près de nous, c’est pour nous qu’il me possède, sa queue me défonce pour mon plaisir, mais je veux que tu participes » et me prenant la queue, elle l’enfourne ; sa sucette est divine et j’oublie mes angoisses ; Jean continue à la prendre, lui parlant tendrement, des mots doux, parfois crus, mais jamais agressifs. Une de ses mains a quitté le corps de Béa et il me tripote les couilles, pendant qu’elle me suce ; à son contact, j’essaie de me dégager mais finalement je frémis à ce toucher ; je me laisse branler devant elle, qui me regarde amoureusement ; son rythme s’est accéléré et à grand coup de matraque il la pistonne, accroché à ses hanches, sa queue lui défonce la chatte et elle feule de plaisir ; à nouveau elle est à lui et jouit sous sa verge ; enfin il se cabre, et il est parcouru de soubresauts ; il éjacule, bruyamment la tête renversée ; accrochée à ses bras, elle s’offre un peu plus « tu me remplis le ventre, tu me fais jouir, je pars, oh c’est bon ...