Le prix à payer (5)
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
Hétéro
... d’autres circonstances, aurait été choquée, elle qui avait toujours eu des pratiques si sages, une sexualité si rangée, mais son bel étalon venait de lui donner tant de plaisir, elle lui était tant reconnaissante, qu’elle ne pensa même pas à faire la fine bouche : elle l’ouvrit en l’arrondissant pour gober le gland gonflé - et tout rouge de l’avoir vigoureusement limée, et absorba le beau membre de son nouvel amant. Celui-ci, plein de gratitude, attrapa Irène à pleines pognes par ses gros seins, et se mit à lui baiser la bouche à une cadence rapide, tandis que elle levait les yeux, cherchait à le regarder. Elle vit l’Italien, le visage en proie à une tension extrême, lui sourire amoureusement, avec de la reconnaissance dans les yeux, puis il poussa un cri de bête blessée et elle reçut sur la langue et le palais des violents jets de foutre ; la semence, abondante, emplit à moitié sa bouche, et elle aurait à ce moment-là trouvé indigne et sale de recracher sa crème : du coup, et tout naturellement, elle se mit à déglutir, avalant en plusieurs fois le sperme de son amant, sous ses yeux médusés. Fabrizio lui sourit béatement, lui caressa tendrement le visage. Irène était très rouge, c’était la première fois qu’elle faisait ça, mais ça lui avait semblé couler de source : il lui avait procuré des orgasmes si puissants, que, pleine de reconnaissance, il ne lui était même pas venu à l’idée de mégoter. Elle s’était relevée sur ses genoux, le regarda sans honte. Fabrizio lui dit : « - ...
... Allez vous doucher, ma petite Irène. Votre patron va finir par se poser des questions. Il y a une charlotte dans la salle de bain, ça empêchera de défaire votre coiffure. » Irène se leva du lit, et se rendit compte qu’elle avait toujours ses bas et ses bottes aux pieds. Cela la fit sourire. Quelle coquine elle était. Et tout ça à cause des beaux yeux de Buzzato. Quel étalon ! Quel homme ! Il l’avait baisée comme jamais un homme ne l’avait baisée. Elle en était encore toute chamboulée. La douche la rafraichit. Elle se vit dans le miroir, découvrant que ses joues, malgré son fond de teint qui avait bien tenu, avaient une teinte framboise vif. Elle se dit qu’il faudrait attendre un peu avant de revenir dans l’entreprise, car si sa coiffure avait bien résisté, cette rougeur marquée ferait comprendre au premier qu’elle croiserait qu’elle venait de se livrer à un exercice physique inhabituel ! L’Italien passa lui aussi sous la douche. Ça laisserait le temps à Irène le temps de récupérer une allure présentable et non suspecte. Ils retournèrent à l’entreprise. Buzzato était toujours gentil, prévenant, et attentionné avec elle. Avant de descendre, il lui dit : « - Ne vous inquiétez pas, Irène. Quoi qu’il arrive, je serai toujours là pour vous aider. » Elle le remercia. Mais au fond d’elle, elle se disait qu’elle allait maintenant affronter seule son destin, et que personne ne lui serait d’aucun secours. Malgré son impression de se réveiller peu à peu d’un beau rêve, elle ne regrettait ...