Vicieux et fier de l'être (2)
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
Divers,
... une fellation à cet inconnu ». En clair, les copains, elle attend de remettre le couvert avec Momo: le « fantasme de prostitution ayant bel et bien pris le dessus ». Et bien, c’est bon ! On va faire ce qu’il faut pour t’faire plaisir, ma jolie. Faut surtout pas t’inquiéter pour ça. Elle est arrivée à l’heure, habillée comme j’ai demandé au téléphone, toute en noir, avec bas résilles, pour bien faire salope. « Le concierge lui a dit « à tout à l’heure » en clignant de l’œil » quand elle a passé devant lui et elle a rougi. Debout, devant moi, elle tremble encore en me racontant ça. J’ai bien rigolé. « On va le faire mariner dans son jus, y peut attendre un peu, et t’iras lui faire un p’tit coucou tout à l’heure. On est pas aux pièces ! » Elle a rien dit. « Avec pépère, t’as fait ce qui faut. Là-dessus, rien à dire ! Et t’as pris ton pied, pas vrai ? C’est bien ! C’est un beau début. Y faut continuer sur c’te lancée et ce soir, note bien, au menu, tu mets : striptease crapuleux, sucette baveuse et après, tu t’fous à quatre pattes et tu lui d’mandes gentiment d’te fourrer par le cul. Entendu ? Faut qu’y soit heureux en ménage, pépère. Et avec guignol, on en est où? » Elle était écarlate et fixait ma cagoule. « J’ai rompu, monsieur ! » « Bien ! Une bonne chose de faite. Autre question, tu t’es branlée? » « Oui, monsieur ! » « T’as fait ça souvent ? » J’ai rigolé un coup car elle avait honte. Elle est d’venue toute rouge. « Oui, monsieur, tous les jours ! » « En pensant à moi, ...
... j’espère ? » « Oui monsieur ! » J’ai ricané : « Et pourquoi donc ? A cause des boules et du gode mahousse ? Parce que ça fait du bien ?» Elle a baissé la tête encore un peu plus et dit tout bas. « Parce que j’avais envie de vous retrouver. J’ai eu tellement de plaisir. Je n’ai cessé de penser à vous. » « Ca, c’est gentil et pis, ça vient du cœur. Alors, finalement, t’es contente d’être là ? » « Oui, monsieur ! » A ma pogne, elle est à ma pogne. Super ! Bon, faut juste vérifier. « Bien, tu poses ton sac sur la p’tite table et tu descends sucer la bite à Momo qu’on soit tranquille avant qu’on s’occupe de toi comme tu mérites. » Elle a rien dit, rien du tout. Elle a posé son sac et est descendue remplir « son office » comme elle dit dans la rédac. Bientôt, c’est ses orifices qu’on va remplir. J’ai ricané. Elle est r’venue une quinzaine de minutes plus tard. J’ai juste eu l’temps de bien recopier le répertoire de son téléphone sur l’ordi, comme le collègue m’a montré. Elle a d’mandé à pouvoir aller dans la salle de bain pour s’laver la bouche. J’ai fait un p’tit signe de la main. « Permission accordée ! » Lorsqu’elle est r’venue devant moi, elle a raconté comment ça s’est passé. Une pipe baveuse, bien à fond, banale quoi ! En fait, y lui baise la bouche, ce vicelard. Y sait pas c’qu’est bon et y gâche la marchandise; il est con ou quoi ? « T’as aimé? » « Non monsieur, car il n’est ni jeune, ni beau, ni propre, et en plus, il fait cela de manière parfaitement brutale. Il est ignoble ! ...