Il jouait Beethoven
Datte: 27/08/2018,
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... n’aime pas qu’on me contredise, je t’attache et je te viole, dit-elle en me montrant de la ficelle qu’elle sort de son sac.— Sérieux ? Oh oui, attache-moi, je t’en supplie ! Serre bien !— Comme tu veux… Elle me lie aux quatre pieds de la table par poignets et chevilles. Ainsi, je ne peux plus tenir le vibromasseur, mais tant pis. Elle retourne s’asseoir sur mon visage, présentant à ma bouche sa vulve dont elle ouvre largement les grandes lèvres entre les mains afin que je pratique sur elle le premier cunnilinctus de ma vie. Il me faut quand même un bon quart d’heure avant de parvenir à la faire de jouir, et cette position n’est pas très confortable pour moi. Puis, estimant que le jeu a suffisamment duré, elle me libère, se rhabille comme je fais aussi, et me montre une clé qu’elle fait sauter dans sa main, d’un air espiègle. — La clé de la maison de Pierre, dit-elle. J’ai rendez-vous avec l’agent immobilier en fin de matinée pour la lui remettre afin qu’il la mette en vente et liquide l’héritage ; mais en attendant, si le cœur t’en dit…— Un petit pèlerinage dans la demeure de l’écrivain ? Pourquoi pas ? Mais pour y faire quoi ?— Je te jouerai du piano, si tu veux. Comme lui. Et pour toi, ce sera… comme avant ! Tu vois ce que je veux dire ? Mais avec moi. Si je te plais…— Pour sûr, tu me plais ! Tu es la seule et unique fille avec laquelle j’ai baisé. Sur le palier, en attendant l’ascenseur, nous nous embrassons à pleine bouche. Ses lèvres fines ont un goût de cannelle. ...
... Même si nous nous séparons demain, je m’en souviendrai longtemps : Maria-à-l’accent-russe est aussi Maria-aux-lèvres-au-goût-de-cannelle. C’est le moment que choisit ma voisine, une dame âgée à l’éternel air pincé, pour sortir de chez elle afin de descendre sa poubelle. Elle nous surprend enlacées tendrement, prononce un « Oh ! » sonore et offusqué avant de se replier précipitamment chez elle. Les ragots aidant, voilà qui me prépare dans tout l’immeuble – et même au-delà – une solide réputation de gouine dévergondée, exhibant ses goûts contre nature jusque dans les communs de la copropriété. Tant pis, j’assume. Comme elle n’a pas le permis, nous prenons ma voiture. Elle me dit qu’elle est venue chez moi à pied. Cela l’a obligée à traverser de nuit des quartiers sensibles, seule dans son grand imperméable beige qui flotte au vent. Celle fille m’impressionne : elle n’a peur de rien. Pendant le trajet, nous discutons à cœur ouvert, comme deux amantes avides de nous découvrir mutuellement. Comme la circulation n’est pas très fluide, nous avons le temps de nous parler. Elle a vingt ans à peine. Je suis surprise par sa connaissance du sexe et de ses perversions, la richesse de ses fantasmes et sa capacité à se plonger complètement dans la luxure. Sans pour autant être pucelle, j’étais plutôt innocente à son âge, et me contentais de faire classiquement l’amour à deux avec un garçon, alors qu’elle a déjà essayé toutes les pratiques et les dépravations imaginables, comme une femme mûre ...