1. Cougar, proie facile


    Datte: 28/08/2018, Catégories: fh, fagée, jeunes, couple, inconnu, fsoumise, hdomine, cérébral, revede, noculotte, BDSM / Fétichisme fsodo, mélo, extraconj,

    ... apprécie, se demande pourquoi nous n’utilisions plus ces recettes, cette ardeur. Elle se réjouit de ce regain d’intérêt et de forme. Nous sommes faits l’un pour l’autre, je ne devrais jamais en douter. Elle me remercie, fait des vœux pour notre avenir commun. S’il n’y avait pas ces valises et le grand coffre, je pourrais la croire sincère. Au matin, pendant que Colette cuve sperme et fatigue, reins brisés par tous ses excès, incapable d’ouvrir un œil, je disparais. Pas bien loin, je m’enferme dans mon bureau, la pièce voisine de ma chambre. Je veux voir, être sûr, savoir si mon retour en grâce du soir influencera la conduite de ma femme ce matin. Quand Colette émerge, assez tard, elle expédie Yvonne avec une longue liste de courses. À son retour la bonne rangera les achats et pourra rentrer chez elle. Restée seule elle téléphone brièvement : — La route est libre, tu peux venir, la porte est ouverte, tu me trouveras sous la douche. J’entends, je ne vois pas. Un bruit de moteur, la porte d’entrée se referme. — Hello, Colette, tu es là ? Je monte ? Mon amour ? Cette voix est gravée dans ma mémoire depuis hier. Émile a ses entrées chez moi ! Voilà une première certitude. L’appel téléphonique lui était adressé. Colette suit son plan, deuxième certitude. Et son rire m‘écrase le cœur, avec des éclats de voix joyeux : — Non, attends, tu me chatouilles, laisse-moi le temps de m’essuyer. Oh ! Non, je vais mouiller les draps. Émiiiile, hihihihi, non. Haaaaaaaa. On va prendre du retard. ...
    ... Fais attention, à force tu me tues. Sors tes doigts de là, regarde, mon sexe doit être tout irrité, tu abuses, aïe ! Non… fou, mais si je t’aime, ooooooooh. Je devine, il l’a culbutée sur le lit et lui donne du courage pour le départ. À pas de loup, je vais les épier. Cette fois, je le constate de visu, je suis cocu. Il n’a pas bluffé, j’ai la preuve sous les yeux. Cheveux défaits, étalés autour de la tête, bras rejetés par-dessus, yeux clos sur son plaisir, ventre ondulant nerveusement, traversé d’ondes irrégulières, cuisses ouvertes en V, Colette déguste son premier cunnilingus de la journée. Deux bras maintiennent l’écart des cuisses pour laisser la place à une chevelure noire à peine mobile : Émile suce, Émile lèche, Émile fouille de la langue, Émile s’impose et par petits cris rauques de plaisir teinté d’énervement ou de douleur, Colette fait connaître sa reddition. La tête de l’acteur oscille entre les chairs blanches. Les mains tirent sur les muscles pour immobiliser le bassin. Ce bavard n’a pas seulement la langue bien pendue, sa langue est habile et provoque des contractions : la quadragénaire exercée par dix-huit années de mariage ne réussit pas à se contrôler. Elle se contorsionne mais n’échappera pas à la bouche qui boit son jus d’amour. Et ses lamentables cris de plaisir augmentent la ténacité de son mâle. Pour respirer, il relève la tignasse puis replonge au festin de cyprine. Elle demande un répit, il ajoute un index. Le doigt trempé dans le sexe, glisse vers ...
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