1. Cougar, proie facile


    Datte: 28/08/2018, Catégories: fh, fagée, jeunes, couple, inconnu, fsoumise, hdomine, cérébral, revede, noculotte, BDSM / Fétichisme fsodo, mélo, extraconj,

    ... de nouveau le choix : je te baise en con ou je t’encule ?— Comme tu voudras mon amour. Je t’appartiens. La réponse n’est pas terminée, le pieu est parti, a disparu. Colette hurle de douleur. Le ventre d’Émile est collé aux rondeurs des fesses. Le retrait cause une plainte pitoyable. — Quelle poule mouillée. J’ai compris, donne-moi ton cul, ça ira mieux. Il monte sur le lit, un pied de chaque côté de la croupe, il plie ses genoux, vient poser sa tringle menaçante à la verticale au-dessus du trou sombre, touche les rides de l’anus, descend encore, fore un passage dans la voie étroite. Colette n’a jamais aimé l’introduction rectale. À mon grand étonnement, je ne l’entends pas protester, et je vois le rouleau disparaître progressivement dans les intestins. Succèdent alors les traditionnels mouvements de haut en bas et de bas en haut, au gré du cavalier attentif aux réactions de sa monture. La pauvre Colette piaffe, elle n’a pas fini d’avaler des couleuvres et de subir d’incessantes pénétrations. Sa passion pour les bites passera plus vite que les envies d’Émile ou de ses copains. À moins qu’elle ne se défasse trop vite de ses biens et de la protection illusoire qu’ils lui assurent. Plus de fric, plus d’amour, c’est son triste destin. La bouche amère, je me retire, prends mes affaires et je m’éclipse sans bruit pour échapper aux hurlements d’amour. C’est l’heure de mon TGV. Puisqu’elle doit m‘abandonner et quitter le domicile conjugal, j’ai prolongé de deux jours mon séjour dans ...
    ... la capitale. J’ai voulu me consoler, me changer les idées, cesser de broyer du noir. Une soirée cabaret, un passage à l’opéra, rien n’a chassé la boule qui me serre la gorge. J’ai vu sans intérêts de belles créatures. Je suis inconsolable. Comment a-t-elle pu s’en aller sans un mot ? À ses yeux, je ne valais même plus un adieu ? Ce lundi, je rentre chez moi. Yvonne est là, yeux baissés, je l’interpelle. Je fais celui qui ignore sa propre infortune. — Yvonne, savez-vous où est madame ? Est-elle sortie ? La bonne me fait signe, me guide vers la cuisine et parle à voix basse. — Madame est revenue ce matin, en pleurs, ne m’a pas adressé la parole et s’est enfermée dans sa chambre. Elle a fait déposer tous ses bagages dans la remise. Elle refuse boisson ou nourriture. Samedi elle a chargé des valises dans une fourgonnette, m’a embrassée, m’a remerciée pour mes bons et loyaux services, m’a recommandé de veiller sur vous et, toute joyeuse a sauté dans la cabine, a embrassé sur la bouche le conducteur. Et ils sont partis. Je me disais bien que ce jeune homme venait trop souvent en votre absence, c’était louche. Ils passaient des heures dans la chambre et ça faisait des bruits… Que monsieur me pardonne, je n’aurais pas dû écouter. Mais quand madame jouit, il est difficile de ne pas entendre. Si je n’avais pas entendu la conversation au restaurant, si je n’avais pas vu de mes yeux le coït dans ma chambre, les quelques paroles d’Yvonne « quand madame jouit » suffiraient à m’éclairer sur ...
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