Premier jour à Istanbul
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
ff,
inconnu,
fépilée,
hotel,
danser,
Oral
occasion,
... avec mon plus beau sourire. Et là, je la vis plonger son nez dans son verre de jus de fruit et rougir jusqu’à la moelle. — Excusez-moi, je dois aller rejoindre mes amis. Je ne sais pas comment mais ma main se retrouva sur son avant-bras. — Reste encore un peu, s’il te plait, lui fis-je en l’implorant presque. Elle me regarda, et je la vis se liquéfier sous mes yeux. Elle prit une longue inspiration et lança — Ok, mais allons dans un endroit plus discret. Et elle m’emmena dans un des nombreux petits salons de l’hôtel. Je la suivis en m’imprégnant de sa démarche, de son parfum très fruité ; j’étais un peu en arrière et mes yeux se portèrent sur son petit fessier. Tout un programme… Nous avions toutes deux conservé notre verre. Dans le salon, elle ferma la porte. — Nous serons plus tranquilles pour faire connaissance. Je vous avoue que c’est la première fois que je m’isole avec une inconnue dans le salon d’un hôtel ! Enfin, je connais déjà votre prénom, et vous connaissez le mien, nous ne sommes plus des inconnues. Je regardais sa tempe, et je pouvais voir une de ses artères qui tapait. Son trouble était immense et elle se réfugiait sous la parole. Elle me vouvoyait, c’était charmant. Elle avait un regard qui m’enveloppait comme un drap de soie, chaud, doux, léger. J’étais aux anges. Je la laissai continuer sa présentation en répondant à ses interrogations, et le vouvoiement se perdit rapidement. Il était plus de deux heures du matin et je rêvais de l’embrasser. Nous nous ...
... étions découvertes complices. Dans un sourire étrange, elle me demanda si je voulais encore danser. Pourquoi pas, me dis-je, nous avons toute la nuit pour nous. Elle sentait mon désir. Pensait-elle que la danse serait une échappatoire alors qu’elle-même, j’en étais sûre, ne rêvait en cet instant que de la même chose que moi ? Nous retournâmes dans la salle qui s’était vidée. La visite des monuments le lendemain avait appelé les plus sages à se mettre au lit. Qui a dit que j’étais sage, même si je m’appelle Sophie ? Le seul monument qui m’intéressait à cette heure était une petite Marie. La musique était sur le thème latino, elle alla vers le bar et commanda un gin tonic. Elle me regarda en riant : — Je peux me lâcher, mais là j’ai besoin d’un peu d’aide : tu m’intimides ! Je commençai à danser à ces cotés, et je me rendis compte que je m’étais trompée : ce n’était pas une échappatoire mais une véritable entreprise de séduction ! Elle alla voir le disc-jockey et lui demanda de passer une série de morceaux. Il nous fixa avec un air amusé et fit comme elle le lui avait demandé. Et nous passâmes plus d’une heure à danser comme des folles, elle me frôlait, m’appelait et je lui répondais. Je n’en pouvais plus. Le disc-jockey mit une salsa. Je pris Marie dans mes bras et la guidai dans mon délire. J’avais envie de l’embrasser mais je me retins. En Turquie les mœurs ne sont pas aussi libres qu’en Europe. Déjà, deux femmes qui s’embrassent en Europe attirent le regard. Là, nous aurions été ...