1. Premier jour à Istanbul


    Datte: 29/07/2017, Catégories: ff, inconnu, fépilée, hotel, danser, Oral occasion,

    ... au bord de l’incident diplomatique ! — Je crois que nous avons suffisamment abusé de la tolérance de nos hôtes, il est temps de mettre les voiles avant d’être accusées d’attentat à la pudeur, me dit alors Marie, qui ajouta en rougissant de son audace : J’aimerais bien par contre visiter ta chambre… Cette femme était tout ce que j’aime, elle avait un charmant mélange de courage et de pudeur. Elle n’eut pas besoin de me le dire deux fois. — Mais je n’allais pas te laisser t’échapper comme ça. Je récupérai mes clés à la réception et la rejoignis dans l’ascenseur. Dans un rire, elle m’avoua : — Je me suis liquéfiée sur place lorsque tu as croisé mon regard la première fois.— Et moi, en cet instant, j’ai terriblement envie de t’embrasser. Ce que je fis enfin. Sa peau était salée par l’effort. Ses lèvres étaient fraîches. J’en voulais encore et encore. Nous arrivâmes à l’étage. Je la guidai vers ma chambre. Lorsque j’eus refermé la porte et que je m’apprêtai à poursuivre ma petite exploration, Marie me dit : — Attends, je… je voudrais te dire un truc avant, je… enfin tu vois, je fais rarement cela avec une personne que je connais à peine. Je la dévorai intensément du regard, l’attirai contre moi, l’embrassai, ma langue jouant avec la sienne. Ses mains caressaient mon dos et le bas de mes reins mais elle n’osait pas aller plus bas. Les miennes se saisirent de son délicieux postérieur et en tâtèrent la fermeté. Je la sentais écarter les fesses sous ma caresse. Je dégrafai son ...
    ... corsage, libérai ses petits seins, deux petites poires à croquer, surmontées chacune d’une petite framboise où je déposai un baiser délicat avant d’aider Marie à ôter son pantalon pour la retrouver presque nue dans mes bras, juste vêtue d’un string en dentelle noire. Je sentis ses mains le long de mes épaules faire tomber les bretelles de ma robe. D’une main habile, elle trouva la fermeture-éclair et je me retrouvai dans le même appareil. — Tu es belle, me dit-elle. Ses yeux étaient ceux d’un artiste découvrant une toile magnifique. Je me sentis grisée par cette impression. — Laisse-moi te regarder s’il te plait, m’implora-t-elle, et je me mis à rougir. Ces mots me touchaient droit au cœur. Elle se recula de deux pas et, avec ce regard de braise, tourna autour de moi. Je passais un véritable scanner. — Arrête, lui dis je, c’est maintenant moi qui suis intimidée. Mais elle n’arrêta pas et me dit : — Je veux garder cet instant à tout jamais dans ma mémoire. Je veux garder ton regard qui se trouble sous le mien, ton corps qui palpite, qui vibre. Et ces bijoux, ma foi, c’est surprenant, surprenant et terriblement excitant. Qui aurait pu croire que tu les portais sous ta robe ? Le contraste est saisissant. Elle s’approcha de moi et je sentis ses seins sur mon dos, ses mains passer sous mes bras et caresser mon ventre. Elles remontèrent ensuite sur mes seins, les pétrirent doucement et agacèrent leurs pointes. Inutile de vous dire que le piercing à cet endroit provoque des sensations ...