1. Premier jour à Istanbul


    Datte: 29/07/2017, Catégories: ff, inconnu, fépilée, hotel, danser, Oral occasion,

    ... vertigineuses. Les deux boucles passèrent à la position horizontale. Marie commença à recouvrir mon dos de baisers. En suivant ma colonne avec sa langue, elle arriva jusqu’à mes fesses dans lesquelles elle enfouit sa tête. Elle les lécha, les mordilla, les pétrit avec force et douceur. Elle écarta la ficelle du string et mit sa bouche sur ma grotte. Elle insinua sa langue le long de mes lèvres gonflées. J’étais sur le point de défaillir et je posai les mains contre le mur pour y trouver un appui. — Lèche-moi, prends-moi, fais de moi ce que tu veux !— Écarte tes jambes, je veux te boire, m’enivrer. Elle mit sa langue sur mon bourgeon, je coulais comme une fontaine. Elle glissa deux doigts dans mon sexe et aspira mon clito. Là, sous ces caresses expertes, je jouis comme une damnée. Je m’écroulai sur elle. Elle me regarda d’un œil espiègle. Je lui glissai en l’embrassant : — Et dire que tu me connais à peine, je n’ose imaginer la suite.— J’ai une imagination débordante et quelques expériences, me dit-elle en jouant avec mon string ...
    ... comme avec un trophée. Et puis, tu es très surprenante. J’adore ca !— On va voir ça, ma belle. Moi aussi je veux mon trophée ! Je veux te goûter et te faire crier grâce. Nous étions allongées sur le sol l’une contre l’autre, la moquette était douce. Je mis Marie sur le dos et couvris de baisers ses épaules, ses seins dont les tétons pointaient férocement. Je caressai ses seins avec le bout des miens. J’enlevai son string complètement mouillé pour découvrir un sexe lisse et brillant de miel, surmonté d’une fine touffe de duvet noir. Sa peau était douce et son parfum terriblement excitant. Je relevai ses jambes, son bassin ondulait doucement sous mes caresses. Je pris tout mon temps pour l’amener vers l’orgasme. Ses mains étaient cramponnées à la moquette, elle cria grâce, et je lui offris son premier orgasme à mes côtés. Elle mit plusieurs minutes à se rétablir. Je passai la main dans ses cheveux, tendrement. Elle se lova alors au creux de mes bras, et je l’embrassai délicatement. Vive la Turquie ! Délicates pensées pour Toi, ma Douce. 
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