1. Nous deux, Mary et Pierre (3)


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Chapitre 3 : Les courses Je suis sous la douche, l’eau ruisselle sur mon corps, les yeux fermés je repense à tout ce qui vient de se passer, aucune honte ne m’atteint, au contraire, je suis fier, fier d’être l’amant de Mary. L’homme qui a fait jouir ma mère. Maman me rejoint. Dans cette grande douche italienne, on pourrait facilement se laver à quatre, papy a vu les choses en grand, et peut-être, lui aussi a-t-il « batifolé » avec mamy sous la douche... Oulalah, je m’égare !... Maman se colle contre moi, telle une chatte qui réclame sa caresse, je sens son souffle régulier dans mon cou, ses mains caressent sensuellement mon torse, tout en douceur, je ressens tout l’amour qu’elle me porte. Elle me fait frémir, la chair de poule me gagne. Maintenant, elle joue avec ses ongles finement manucurés sur mon torse, une vraie torture, mais une torture diabolique. Ma virilité bien sûr réagit, une « trique d’enfer » me prend !! Ses mains descendent sur mon ventre, en continuant ses caresses, faisant des ronds dessus. Elle descend lentement vers mon pubis, et là elle sent que je bande, ses doigts entourent ma queue, en me caressant le plus lentement possible. Elle me dit — eh bien mon cochon, tu es en permanence au garde-à-vous...!! — Que veux-tu, quand une belle femme me caresse aussi tendrement que toi, Popaul réagit ! « Mais tu es insatiable, tu as toujours envie de me sauter, espèce de gros cochon ! » rie-t-elle. Sa masturbation devient plus active. Je lui dis : — je croyais que ...
    ... l’on devait être sage sous la douche ma chérie ! « Mais de palper ta bite m’a donné encore envie de te sentir dans mon ventre. » Je la retourne, lui plaque le dos contre la paroi de la douche, l’eau coule toujours, nos deux corps brillent... Ses cheveux trempés la rendent plus que désirable, je l’embrasse furieusement, elle me rend ce baiser avec passion. Ma main se perd dans son intimité. Non ce n’est pas de l’eau, mais bien son jus qui coule, mon excitation atteint son paroxysme. Je la veux, je veux pénétrer son antre chaud dégoulinant de plaisir, je me baisse légèrement, lui écarte les jambes, présente ma queue bandée au maximum à l’entrée de sa minette, et la pénètre, lentement, pour faire monter notre plaisir. On s’embrasse toujours, Mary me dévore la bouche. J’accélère le mouvement, je la pilonne de toute ma longueur, nos gémissements commencent à résonner dans la douche, nous interrompons notre baiser pour pouvoir respirer, gémir à notre aise. Je lui relève une jambe, qu’elle passe dans mon dos pour bien l’écarter, je vois sa chatte bien ouverte, remplie par un intrus qui la pistonne furieusement. Mary a enfoui sa tête dans le creux de mon épaule et gémit de plus belle. Je continue mon travail, par un pilonnage au plus profond de son vagin. Je veux l’emmener au ciel, qu’elle ne touche plus terre, au propre comme au figuré. Je passe mes bras sous ses cuisses, à présent toutes deux écartées, et la soulève. Légère comme une plume dans mes bras, elle monte et descend de plus ...
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