1. Nous deux, Mary et Pierre (3)


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en plus vite sur ma bite. D’elle-même, elle croise ses chevilles dans mon dos. Nous arrivons au bord de l’extase, encore quelques vas et viens, et Mary me hurle dans l’oreille — Je viens mon amour ! Je ne tarde pas à la rejoindre dans la jouissance, ponctuée de gémissements bien rauques. Mon éjaculation est moins volumineuse que la fois précédente, mais tout aussi délicieuse. Je tiens toujours solidement maman dans mes bras, sa jouissance l’a désarticulée comme un pantin, elle est foudroyée par son plaisir. Délicatement, je la repose à terre, ses jambes flageolent. Nous reprenons nos esprits, maman toujours la tête dans mon épaule. Elle est d’une beauté indescriptible après l’amour, elle lève la tête, et avec son sourire mutin me dit : — oulalah qu’est-ce que tu viens de me mettre, mon cochon de fils, j’étais sur une autre planète ! — Oh oui maman, c’est vraiment le pied avec toi. Après quelques minutes, Mary me dit — maintenant, une vraie douche, et on file en ville Nous nous lavons mutuellement, en restant calmes, seulement quelques bisous. Il nous faut faire vite, le lent savonnage du corps de maman me procurant trop de... sensations. Après cette bien coquine douche, nous filons dans nos chambres, pour nous habiller. J’enfile un bermuda léger, un tee-shirt, et j’attends maman au salon. Elle arrive un bon moment après moi. Ah les femmes, pour se préparer !... Tenue décontractée, une robe d’été légère, au-dessus du genou, échancrée dans le dos, des petites sandalettes, ...
    ... sa queue de cheval tressée avec délicatesse, les cheveux encore humides. Tout cela là rend sublime. Bien sûr elle n’a pas mis de soutif, je vois ses deux grosses oranges se balader quand elle marche. Quelle coquine ma Mary ! — Allez, en route mon chéri, je sais, tu n’aimes pas faire les magasins, mais c’est pour toi, pour te plaire. « Mais maman, tu me plais comme tu es. » Je me lève sans trop de conviction, elle m’a lancé les clefs de sa voiture. — Maintenant tu es mon chauffeur !... Direction le centre-ville, maman me caresse tendrement la cuisse pendant le trajet, j’essaye de rester concentré sur ma conduite, car ses caresses me font de l’effet. Nous déambulons devant les vitrines des magasins, maman m’a pris la main, nos doigts s’entrelacent, un vrai couple d’amoureux. — Mary, on pourrait nous reconnaître ! Et la réponse fuse, sur un ton sec : — je m’en fous, je suis tellement bien avec toi mon amour ! Alors, vaille que vaille !!... Dans le premier magasin, achats de tenues, on va dire classiques : mini shorts, minijupes, débardeurs. Direction la cabine d’essayage. Cela dure un bon moment. Passant seulement la tête par le rideau, elle me fait signe de venir, et là, le CHOC ! J’ai devant moi une vraie bombe, on dirait une midinette de 20 ans, un short à ras du cul, le tee-shirt remontant au nombril, à cause de son imposante poitrine, je suis subjugué par sa beauté. — Maman, si tu sors comme cela tu vas déclencher une émeute !!... « Du calme mon chéri, c’est pour toi à la ...
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