1. Nous deux, Mary et Pierre (3)


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... maison, tu pourras te rincer l’œil gratuitement. » Elle me dit cela avec un grand sourire et éclate de rire. Je sors de la cabine d’essayage. Passage en caisse, plusieurs cornets de fringues, que je porte, bien naturellement, elle me prend le bras, elle est toute guillerette du bon coup qu’elle m’a joué, je ne reconnais plus maman, c’est l’eau et le vin, je la sens fière et heureuse d’être avec moi. Notre complicité et notre amour grandissent d’heure en heure. En arrivant devant un magasin de lingerie, Mary stoppe net devant l’entrée. — Mon chéri, passons aux choses sérieuses. On rentre, plusieurs clients et clientes et deux vendeuses, une jeune à peu près de mon âge, et l’autre la cinquantaine, maquillée à outrance, et perchée sur des échasses. Nous ne passons pas inaperçus tous les deux dans ce monde de lingerie fine. Maman déambule dans les rayons, je la suis sans trop savoir quoi faire. Elle choisit plusieurs tenues de belle facture et dans mes couleurs préférées, et une vert émeraude. J’en salive d’avance de la voir dans ces tenues coquines. Maman a récupéré un panier où elle dépose toutes ses emplettes. Un homme d’une soixantaine d’années nous observe d’un air envieux, surtout en matant Mary, s’il savait le vieux que c’est ma mère et qu’en plus, je la baise... Plusieurs nuisettes ont rejoint le panier, maman se dirige vers les cabines d’essayage, je l’attends devant, je ne sais quoi faire, je sens des regards sur moi, en un mot je me sens con. Mary entrouvre la porte ...
    ... de la cabine pour me faire entrer, afin d’avoir mon avis. En découvrant le premier ensemble, je pense « putain qu’elle est désirable ! », et ainsi de suite pour les autres ensembles. Je suis resté dans la cabine, j’admire les essayages et les déshabillages, assis sur un tabouret. Holà, je sens l’excitation me gagner. Le dernier, c’est l’ensemble vert émeraude qui la pare comme une reine de beauté. Mes yeux ne savent plus où regarder tellement elle est magnifique, le soutien-gorge tout en dentelle lui habille ses gros seins comme une seconde peau, un string qui ne cache pas grand-chose, et qui laisse deviner sapetite chatte finement taillée. Pivotant sur elle-même, elle me présente son adorable côté pile. On ne peut pas dire que ses merveilleuses fesses soient moulées par le string, car elles se trouvent totalement à « l’air libre », la culotte ne « couvrant » qu’un minuscule triangle de peau, avec au-dessous une ficelle disparaissant entre les deux globes... Et que dire du porte-jarretelles maintenant des bas verts !... Une grosse bosse apparaît dans mon bermuda. Les mains sur les hanches, elle tourne sur elle-même en me décochant un sourire ravageur. Son regard se pose sur ma bosse. — C’est moi qui te fait cet effet ? Passant ses bras derrière mon cou, elle m’embrasse tendrement, et sa main vient se balader sur ma bosse, me caresse langoureusement. L’effet est immédiat, je bande encore plus fort, une envie bestiale s’empare de moi, j’ai envie de la baiser, là, tout de suite, ...
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