Coupe du monde
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
humour,
sf,
fantastiqu,
... Pendant que mes amis vaquaient à leurs occupations, descendant sur Terre pour étudier je ne sais quoi, je passais des heures à regarder ma planète, allongée dans un transat en écoutant de la musique zlagouillienne. Le pied ! Parfois, l’un d’eux venait me masser le dos. Se faire masser par douze doigts agiles en regardant l’univers est resté une des expériences les plus fantastiques que j’ai vécues avec eux. Une salle de communications, permettant de capter les émissions terriennes et de contacter Zlagouille complétait l’équipement technique. Ils n’étaient que quatre, le vaisseau étant entièrement automatisé. Les Zlagouilliens étant de fines gueules, le vaisseau possédait une cuisine très bien équipée. Je faisais la tambouille avec eux, mélangeant les recettes françaises et de chez eux. Je ne pus cependant jamais donner à mes amies ma recette du confit de blattes ou du gratin de termites. Mes charmants hôtes vivaient nus ; j’en faisais autant. Nue dans l’espace, même Kubrick ne l’aurait pas imaginé. Un jour que j’épluchais des scarabées pique-prune, j’interrogeai mes hôtes sur quelque chose qui me turlupinait. — Comment se fait-il que nous marchions normalement ? Quand je vois des images de la navette spatiale, ils flottent partout ! En apesanteur.— Je m’étonnais que tu ne t’en inquiétasses point, me répondit Zami.— Notre vaisseau possède un GUFTI, un Générateur Universel à Flatulences Tridimensionnelles Inversées. Autrement dit, un créateur de gravité artificiel.— La gravité ...
... sur Zlagouille est un peu plus élevée que sur Terre, mais à peine. De même que l’atmosphère est pratiquement identique. Tu peux respirer sans problème.— Et personne ne vous a jamais repérés ?— Impossible : nous sommes équipés d’un Modulateur Démodulateur Réfractant, un MDR. Il efface les ondes et les images radars. Nous sommes invisibles. À moins qu’un abruti ravitaillant la station spatiale ne nous percute ; mais la possibilité en est extraordinairement faible. Jamais plus nous ne refîmes une bacchanale comme celle du premier soir. Il ne se passait cependant pas une journée sans que je partage la couchette de l’un ou l’autre. Je ne me sentais pas trop d’attaque pour pratiquer une fellation, me sentant bien en peine de choisir l’une ou l’autre des… stouquettes. Je me suis laissée aller, à de rares fois, à pratiquer un soixante-neuf. Tandis qu’une langue bifide m’explorait les entrailles, je tentais désespérément d’attraper une bébête qui remuait tout le temps. Cette pratique n’est pas usitée dans la bonne société zlagouillienne. Je comprenais pourquoi. Détail amusant, je les étudiais moi aussi. Leur sexe semblait tout à fait étonnant. Il était télescopique. Tout petit au repos, il se dressait lorsqu’il subissait une excitation. Lorsqu’ils veulent pratiquer, de petits éléments semblaient s’emboîter. Ce qui expliquait leur souplesse. J’ai appris le Kâma-Sûtra version Zlagouille. Ils me racontèrent que des textes de loi intergalactiques interdisaient d’avoir des relations avec ...