Le rose et le noir. Ludivine
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
hotel,
amour,
volupté,
Oral
69,
ecriv_c,
... taille, elle se cambre, cherchant mon ventre. — Bien sûr que je me souviens ! Coquine ! Dis donc, et je te l’ai déjà dit, on ne t’arrête plus, du grand art… tu me referas ça ?— Peut-être, on verra, c’était bien, non ? minaude-t-elle en se frottant.— Je vous ai entendues… dis-je doucement. Après que tu sois repartie, cette nuit…— Ah ! Des ronflements ? C’est possible… me répond-elle l’air innocent en me piquant d’un doigt. Un toussotement derrière nous… on se sépare vivement ; Ludivine est là debout, en kimono, l’air aussi en vrac que Laure… — Coucou ! Fait-elle. Bien dormi, Jean-Pierre ? Laure en profite pour filer à la salle de bains en lançant : « Soyez sages, à tout de suite… » Ludivine s’approche, me caresse la joue, me tend ses lèvres. J’y dépose un petit baiser. — Merci encore… dit-elle, sans vous deux j’avais un sacré problème.— Tu as bien dormi avec Laure ? J’ai cru entendre des bruits… Elle rougit, regarde ses pieds, me prend les mains. — Euh ! oui… elle était un peu énervée, sans doute parce que tu n’étais pas là… elle s’est levée, ça m’a réveillée… enfin elle s’est recouchée… voilà… Mes bras posés sur ses épaules, je la regarde et murmure : — Et tu nous a vus… n’est-ce pas ? Ses mains me serrent, moites et elle soutient mon regard. — Oui… souffle-t-elle, oui, terrible ! Très, enfin… bien, quoi… excitant ! Puis elle se coule contre moi, frémissante : « J’aurais payé cher pour être à sa place, tu sais…. mais justement, ce n’est pas ma place ! » ajoute-t-elle en ...
... me serrant. — Et avec Laure ? Euh… demandé-je curieux— Oh ! Ben oui… On a fait un câlin. C’était bien… la première fois. Elle frissonne, se masse les bras, le regard ailleurs, comme si elle se remémorait cette nuit, puis me tend ses lèvres et murmure en soupirant : — C’était bon… Je n’aurais jamais cru, c’est terrible, j’ai aimé… Me prenant la main, elle la glisse entre ses cuisses en frissonnant. C’est doux, chaud, et mes doigts jouent un instant avec son triangle duveteux, puis cherchent plus loin son sillon humide. Ses reins se cambrent, elle gémit : « Ah ! si on pouvait, maintenant, debout… » Mais elle me repousse doucement : « Plus tard, je te promets… » murmure-t-elle pendant que nous entendons Laure revenir et qui lance : « A toi, Ludi… la salle de bains est libre ! » o-o Quelques jours passent, mais changement brusque d’ambiance. Tout allait trop bien sans doute… Laure en plein stress de ses examens proches se montre distante, préoccupée et passe les journées dans ses bouquins. Ludivine de son côté perturbée par sa rupture, et sa situation de squat chez nous. Nos nuits sont réglées, les deux filles dans la chambre… et moi dans le canapé. Soudain plus de câlins et l’atmosphère est maussade. La présence de Ludivine entre nous n’arrange rien, intimité zéro. J’ignore même si toutes les deux, au lit… Un jour, en fin d’après-midi, alors que je suis le premier à être rentré, Clara appelle, voulant parler à Laure. Après lui avoir précisé que je suis seul, elle me lance : — ...