Amelia et l'Escort Boy
Datte: 01/09/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
prost,
complexe,
Masturbation
intermast,
entreseins,
facial,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
bougie,
init,
confession,
initfh,
tarifé,
Je m’appelle Amélia. Je ne suis pas une fille comme les autres. Sensible au monde, lucide sur la psychologie humaine, je ne me retrouve pas dans le comportement de la plupart des personnes de mon âge. La jeune fille de vingt ans que je suis a du mal à cerner le fonctionnement de ces êtres qui semblent avoir une conscience « de groupe », être le simple produit de leur culture et ne pas avoir la capacité à agir et à penser selon leurs propres idées… Ils me semblent comme un peu éteints… Moins vivants ? Je ne dis pas cela pour me mettre en valeur, mais c’est un fait indéniable, nous n’avons pas la même conscience sur la vie. Et cela ne fait que compliquer le problème. Je ne pourrais me définir comme une fille timide. Je souffre pourtant d’un terrible blocage vis-à-vis des garçons. En ce moment plus que jamais, ma vie en est totalement anéantie. Lorsque j’étais petite, je fus victime d’une effroyable chute de vélo, qui occasionna une plaie particulièrement sévère sur toute l’étendue de mon épiderme frontal. Si je n’eus à subir aucune séquelle d’ordre majeur, des complications survinrent à la suite de l’opération chirurgicale qu’on me prescrivit pour des raisons esthétiques. Il s’en suivit que le résultat ne fut pas du tout celui escompté. Onze années ont passé depuis lors, et bien que le temps ait fait son œuvre en gommant certaines cicatrices, je n’en demeure pas moins partiellement défigurée, et ce, pour le restant de mes jours. Mon front est couvert de balafres. Heureusement, ...
... les autres parties de mon visage n’ont pas été atteintes. Tout ceci ne saurait expliquer encore la totalité de mon problème. Après mon accident, je vécus sans me soucier excessivement de ses conséquences. Cependant, les choses prirent une autre tournure à mon entrée en classe de quatrième. Une pimbêche de ma section et sa bande trouvèrent agréable, pour se valoriser, de m’utiliser comme souffre-douleur. Étant sensible, je fus plutôt surprise par leurs attaques à répétition, et à chaque fois si déconcertée que je ne trouvais en moi les ressources pour réagir avec la force requise. La situation ne fit qu’empirer avec le temps. En fin d’année, la bande ne m’appela plus par mon prénom, mais par ces mots terribles : « La moche ». L’année de troisième fut la pire de ma vie, car ces mêmes personnes se retrouvèrent toutes sans exception dans la même classe que la mienne. Je commençai à me renfermer sur moi-même, excluant de nombreuses relations amicales qui s’offraient parfois à moi. La douleur ne fit qu’amplifier à mesure que les brimades s’accumulaient. La peur et la honte rongeaient mes ressources vitales. Heureusement, ma meilleure amie, Sara, m’apporta beaucoup de soutien. Mais cela ne put empêcher le dénouement dramatique de cette histoire. La souffrance atteint son paroxysme lors d’un épisode particulièrement cruel qui survint au printemps de cette année-là. Cette bande de sous-êtres se posta dans le préau pour m’attendre à la sortie du réfectoire, accompagnée de cinq autres ...