Amelia et l'Escort Boy
Datte: 01/09/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
prost,
complexe,
Masturbation
intermast,
entreseins,
facial,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
bougie,
init,
confession,
initfh,
tarifé,
... complices d’une autre classe. Ils se ruèrent sur moi et me saisirent de toutes parts, puis m’immobilisèrent. Ce qui ne fut pas bien difficile à plus de dix contre un. Instantanément, je hurlais de toutes mes forces. Cela ne se suffit pas à empêcher la suite. On m’inscrivit en grosses lettres avec un marqueur noir indélébile « MOCHE » sur le front. Comme si cela ne suffisait pas, ces ignobles individus baissèrent ma jupe puis me l’enlevèrent… Ils firent de même avec ma culotte. Alertés par mes cris, deux surveillants approchaient au loin. Mes agresseurs décampèrent tous sur le champ, et je me retrouvai bariolée et à demi-nue devant des dizaines de collégiens éberlués. Certains rigolaient, d’autres paraissaient graves ; d’autres encore manifestaient dans leurs yeux une émotion dominée par le plus grand étonnement. Il se passa bien dix secondes avant que les pions n’arrivent sur place ; vous pouvez compter et comprendre comment ce temps devient une éternité quand on est une ado rouge de honte au milieu d’un attroupement de jeunes. La position dans laquelle on me tenait, fit que tout le monde put voir mon sexe. Inutile de vous dire dans quel état de panique émotionnelle je me trouvais. À deux mains, je cachai mon intimité exposée à l’air libre, dès que possible. Une fois à proximité, les surveillants comprirent rapidement la situation, et l’un d’eux enleva son sweat pour masquer mon entrejambe… L’affaire fit grand bruit dans le collège. Les responsables furent expulsés. Mes ...
... parents apprirent toute l’histoire depuis son commencement, et décidèrent de porter plainte. Cela finit que six personnes furent astreintes à un long séjour dans une maison de correction, dont la réputation était particulièrement sévère… Depuis, les années ont passé. Vous pouvez imaginer sans mal les traumatismes que cela a engendré en moi. Ce fut comme une seconde cicatrice qui, cette fois, pénétra plus profondément en ma personne. Je développai un terrible complexe vis-à-vis de l’esthétique de mon front, et tout particulièrement au lycée. Alors que mes copines ne se privaient pas de vivre leurs premières expériences avec des garçons, je fus comme paralysée et m’empêchai – consciemment ou inconsciemment – toute tentative de flirt. Tant et si bien que je crus réellement être une personne au physique disgracieux, et qu’aucun garçon ne pourrait vouloir d’une fille aussi laide.. À 20 ans je ne suis pas pucelle, mais je me considère pourtant comme telle. Je n’ai eu qu’une unique expérience sexuelle à 18 ans, lors de vacances d’été en camping. Julien, un gars pas très finaud, jeta son dévolu sur moi. Il n’avait rien qui m’attirât particulièrement, mais n’ayant jamais eu d’occasion, je n’en pouvais plus de m’interroger sur la question. Comme le dit le proverbe : faute de grives, on mange des merles ! Cette expérience s’avéra extrêmement décevante. Je m’étais tellement de fois masturbée en espérant ce moment… La claque glaciale de la réalité tomba absolument sans pitié. Je n’éprouvai ...