1. Amelia et l'Escort Boy


    Datte: 01/09/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, prost, complexe, Masturbation intermast, entreseins, facial, pénétratio, fdanus, fsodo, bougie, init, confession, initfh, tarifé,

    ... guère d’excitation pendant la pénétration. Il n’était pas fin, pas de caresses, pas de tendresse… Si je ne détestais coller des étiquettes, celle de « beauf » lui aurait toutefois plutôt bien convenue ! Ses baisers me répugnaient. Nous n’étions pas sur la même longueur d’onde, et je n’aurais imaginé que cela puisse autant jouer sur mon plaisir. Autant vous épargner les détails. Pour résumer la situation, je sortis de cette aventure avec une impression fortement négative. Avant était le néant. Mais le négatif, c’est encore pire que le néant, n’est-ce pas ? Oui, ça l’est. Je restai d’autant sur ma faim que l’expérience ne dura qu’une nuit, aussi je ne pus mener certaines investigations sexuelles dont l’idée me taraudait intimement depuis des années. Je suis maintenant étudiante dans une fac dont je tairai le nom, afin de préserver mon anonymat. Les garçons que je côtoie ne me plaisent pas du tout, et le seul avec qui j’aurais envie d’être, sort avec ma meilleure amie. N’en pouvant plus de ne pas avoir de sexe dans ma vie, je m’inscrivis sur un site rencontre. Je finis par sympathiser avec un jeune homme charmant, qui se révélera virtuellement aussi intelligent que séduisant. À la veille de la rencontre réelle que nous avions d’un commun accord décidée, je fus prise d’un accès de panique. Je ne trouvai pas la force en moi pour m’imaginer me présenter devant cet homme. Mon complexe me hantait en permanence. Je finis par prétexter une rencontre avec un autre garçon pour annuler ...
    ... le rendez-vous. Mais derrière mon écran, je tombai en larmes et fus envahie d’une des pires crises de désespoir de ma vie. Le monde s’obscurcit soudain et je passai deux semaines dans l’état dépressif le plus total qui puisse être. Je sentis réellement toucher le fond ; jamais de mon existence, je n’étais allée aussi bas. Je séchais les cours, ne faisais plus grand-chose de mes journées (ce qui était absolument l’opposé de ma façon de fonctionner), pleurais devant des pornos sur internet en voyant tout ce que les autres vivaient, qui était si loin du vide sensuel qui m’emprisonnait. Puis un jour, je visualisai, je ne sais plus par quel hasard, un reportage qui se targuait d’exposer la nouvelle mode des «escort boys ». J’y voyais comment des filles payaient pour avoir des relations sexuelles avec des hommes, sans se soucier de la morale publique. Ma curiosité en fut piquée au vif ; je fis très vite de plus amples recherches sur la question. Je découvrais la prostitution masculine avec grand étonnement. J’ignorais absolument son existence. J’avais déjà entendu le terme de gigolo, mais je ne savais pas ce qu’il signifiait. J’appris que lesescort boys étaient, en quelque sorte, un service haut de gamme, et qu’en plus de proposer leur corps, ces hommes insistaient sur le côté humain, proposant au-delà d’une relation client/fournisseur, davantage un échange d’être humain à être humain. « Ça reste à voir », me dis-je. Approfondissant mon enquête, j’en vins finalement au : « Pourquoi ...
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