1. La pute et son bedeau


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... convaincre que son bonhomme était un type extra etdésintéressé, elle voulait secrètement me réformer et me transformer enbas-bleu. Aujourd'hui on parle à cet égard de dé-radicaliser ou insérercertains. On espérait transformer la garce initiale que j'étais ensainte. Rien de tel pour me réduire à fomenter les plus pires complots.Je n’attendis pas un an pour fourbir mon embuscade. Le stratagème étaitsimple. Mon cher imbécile s'était peu à peu enhardi jusqu'à venir mevoir seul avec ses bouquins sous le bras. Nous en discutions enregardant de vieux films.En effet nous avions même passion pour les vieux classiques de la MGM oude la RKO. Boudant au départ, je me déridais à mesure. Il est vrai jetombais sous le charme de mon étrange garçon. Ces premières fois j'enoubliais mon pouvoir de séduction sur les hommes. Je respectais voirecraignait celui-ci. Certains prêtres ou êtres innocents vous suscitentune crainte sacrée. Je buvais ses paroles. Je convenais qu’elles avaientun sens profond et spirituel ouvrant des perspectives dans ma vie.J'encourrais d'être convertie et qu'il me fit honte un jour de ma viepassée. Quelle catastrophe !Je crus devoir m'en ouvrir à une autre amie laquelle éclatât de rire.Elle me dit : « Fais gaffe tu tombes amoureuse. Tu vas vouloir te marieravec lui et lui faire accroire que tu es vierge. » Ces quolibetsachevèrent de me réveiller. En effet je glissais inéluctablement sur unemauvaise pente envoûté par le charme de ce prince charmant. Il mefallait me ...
    ... réveiller et réagir. Je ne mettais en doute la sincérité deson prosélytisme mais j’estimais qu'il se mentait à lui-même autant qu'àmoi. La réalité et la vérité de ce monde ce n'était pas cela. Je devaisà mon tour lui donner la leçon.Je fis cela en deux étapes. Il faut savoir que je n'avais pas renoncé àtoutes mes saloperies. Une foule d'amants se pressait pour moi. Ilsétaient de tout âge, origine ou condition. Mon mari était fortcomplaisant à cela. De toute façon il folâtrait autant de son côté.J’avais droit à cet égard de faire cela sous le toit en son absence. Ilétait juste convenu que je lui adressas pour le prévenir ce sobre SMS :« Suis consultée entre telle et telle heure ; » Lui préférait baiser àl'hôtel ou chez une de ses amantes. Pour mon mignon curé dans la mesureoù c'était sage, je me dispensais du fameux SMS.Ainsi eurent-ils souvent à se croiser dans le salon tandis que nousparlions devant un film. Je percevais le mépris du mari. Il haussait lesépaules. Un jour n'y tenant plus il me jeta : « Je ne sais pas ce quetu trouves à ce nigaud, à ce pédant. Tu aurais mieux fait de baiser avecet de le jeter. » Je trouvais que l'idée n'était point mauvaise. Jedevrais un jour ou l'autre me débarrasser de mon éphèbe. Ledit éphèbeayant trente ans de moins que moi. J'eus pu être sa mère. Ce fut commeun déclic. Je décidais un jour de commencer à l'attaquer. Je vins à lerecevoir vêtue de façon plus osée.Finis la robe longue, les collants et chaussons de mémé dans lesquels jele recevais ...
«1234...7»