1. La pute et son bedeau


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... n'endébattîmes pas moins de l'histoire, de sa morale, de la justesse de lamise en scène. Je le vis embarrassé quant à l’héroïne. Je lui demandaisjustement sur celle-ci : « Tu penses que c'est une femme perdue etqu'elle a mérité son sort ? » Il protesta qu'on ne devait condamnerquiconque. Il ne m'en dit pas moins qu'il pensait qu'elle n'était pointune femme heureuse. Il ajouta qu’elle avait choisi de s'enrichir partout moyen et c'était dépit et succédané.Il put dire tout autant que le sexe et la débauche était d'aussi pauvreset débiles expédients. Je me rappelle que je croisais haut mes cuissesdurant cette conversation imprimant un balancement frénétique à unescarpin au bout d'un pied. Je l’avais pu faire dans le film Je trouvaistroublant et provoquant de le lui infliger dans la réalité. Je gagnaiset en fus un peu étonné qu'il fixa bientôt ce pied, cet escarpin. Onl'eût cru ensorcelé tel le Naja par la musique. J'en venais à découvrirpeu à peu un autre homme. On eût dit que tout son vernis craquelait.J'étais comme devant un mystère.Je me souviens aussi que j'avais disposé deux, trois DVD de film X surla table basse près de la télévision. J’affectais de les avoir oubliésdans la précipitation. Il ne pouvait pas ne les avoir vu. Cela auguraitde ce que j'avais pu faire avec le supposé cousin. J'escomptais bien quetoutes ses fâcheuses impressions s’imprimassent dans son esprit etqu'outre de me redécouvrir sous mon vrai jour, il réalisa et mesura toutson échec quant à mon ...
    ... édification. Peut-on réformer une putain ? Pute unjour, pute toujours. Il ne voyait surtout qu'il était plus en danger quemoi dans cette circonstance.Outre d'échanger par SMS, nous nous adressions aussi des emails pour nosdébats intellectuels. J'usais aussi de ce canal pour lui adresseranonymement des MMS, petites vidéos, d’image glauque et de mauvaisequalité où il était facile de me reconnaître nue ou en petite tenueentrain d’effectuer des passes peu innocentes. Ainsi me vit-il sucer unhomme puis être besognée en levrette. Il y avait toujours une légendeaccompagnant les films. Je laissais accroire qu'on voulait me calomnieret en même temps le décourager de s'investir davantage avec moi, unecatin qui ne le méritait pas.Bien sur il ne dit goutte de ces choses mais je vis bien par ses regardsen dessous qu'il avait changé à mon égard. J'étais vêtue ces jours-là defaçon plus osée . Mon mari qui s'en aperçut me jetant : « Tu veux tetaper le petit ? » Par cruauté je parlais avec celui-ci du couple qu'ilformait avec mon amie. Je lui disais que je trouvais formidable qu'ilsse fussent trouvés et parussent comme un défi face à la veulerie de cemonde. Je lui confirmais qu'on médisait trop sur eux. J'ajoutais : « Lebonheur fait toujours des envieux. » Je n'osais cependant lui demanderquant à leur harmonie au lit.En même temps je le savais abreuvé de vidéos plus hard sur moi.Notamment une où je passais de mains en mains entre quelques nègres.Cela s'était réalisé dans un garage peu loin, il y a un ...
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