1. La pute et son bedeau


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... comme pour lui témoigner ma mauvaise volonté de vouloir leséduire et d'exprimer ma féminité profonde, expression de mapersonnalité. Faisant en sorte la grève. Ajoutez à cela que jem’affublais d'un affreux chignon et ne me maquillais pas. Il ne s'enoffusquât guère. Même il dut prendre cela pour une preuve que j'entraisdans ses vues. Que l'instruction, le savoir m'importaient plus que lesjeux anciens de ma coquetterie. Je me résignais à mon âge, à mes rides.Il me ramenait au droit chemin.Point besoin de vous dire qu'un tel malentendu m'exaspérait. Il mebrûlait de le lui dire et d'avouer qu'une heure durant j'avais étélutinée par un chauffeur routier dans son véhicule et que cela s'étaiteffectué peu loin d'une école presqu'au su de tous. Je l’avais sucéabondamment. Il m'avait avec sa Bonne queue, enculé au final. C'était làle banal et le quotidien de mes turpitudes. Il n'était pas rare que deuxamants pussent avoir l'honneur de mes faveurs dans une seule journée.J’étais insatiable. Les heures studieuses que je concédais au bedeaun'étant qu'un mince répit dans cet océan de boue.Bref la première estocade se passât ainsi. Je fis en sorte une heureavant l'un de nos rendez-vous, d'inviter un amant pour que celui-ci putme sauter dans le lit conjugal. J'adorais profaner. Un SMS avait à cetégard prévenu mon mari. Je fis en sorte que cet amant du jour putcroiser notre bedeau. J'en voyais fébrilement à ce dernier un SMS pourlui dire de ne pas entrer de suite dans le pavillon. Que je ...
    ... ferais signepour cela. Je le vis sur le bord du trottoir inondé de soleil. Ilattendait le visage souriant et benêt. J'escomptais bien qu'il put bienvoir cet homme qui sortirait de chez moi.Ils se dévisagèrent. Je pense que le bedeau prit assez de temps pourréaliser que cet homme avait un genre mauvais. Qu'il n'était pas venupour discuter avec moi d'Heidegger. J'affectais en le saluant deparaître gênée et sujet à une certaine culpabilité de ce que j'avais pufaire avant. Comme les dernières fois j'arborais une jupe des pluscourtes avec le port de bas. J'avais cru devoir marquer ainsi le débutde mon émancipation voire de ma rébellion. Il en parut, je me souviensassez chagrin d'autant que je me maquillais à nouveau. Je tempéraissouvent cela en prétextant une proche sortie.Ce jour-là il se représenta que j’avais paru de la sorte devant le voyouqu'il avait vu sortir. Son imagination je l'espérais pourrait luilaisser deviner tout le reste d'autant que j’avais un peu la chevelureencore en broussaille et une jupe et des bas un peu chiffonnés. Devantlui je tachais de me remaquiller. Je balançais même un ignoble mensonge.J'arguais qu'un cousin de mon mari était venu m'apporter des nouvellesde la belle famille. C'était un très brave jeune homme. Il était auchômage et s'était résolu à s'établir outre-manche pour tenter sachance. Il était patent que je mentais.Je choisis à dessein le chef d’œuvre de Billy Wilder : Assurance sur lamort où notamment sévissait une vamp, Barbara Stanwyck. Nous ...
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