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La pute et son bedeau
Datte: 03/09/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... mois. Ilreluquait à présent sans vergogne mes jambes, mes cuisses et sûrementmes fesses lorsque je me baissais assez longtemps devant lui. A ceteffet un jour décidais-je de me délester de la culotte. Je n'eus decesse alors de croiser et décroiser les cuisses. Avec ses clignementsd’yeux, il faisait pitié à voir. Je triomphais. Dans l'échange de nospropos il languissait à présent. J'étais obligée de relancer.Il me tardait à porter le coup final. Une fois encore je recourus à unautre amant qui vint lui aussi à sortir devant lui tandis qu'illanternait sur le même bord du trottoir. C'était un grand black dans legenre le plus vulgaire. J’escomptais bien de cravacher sa jalousieainsi. Il ne pourrait s'empêcher de m’imaginer sous les assauts de cemâle. Contraste entre ma peau blanche et celle de ce noir, ce gorille.Je faisais appel à ses plus bas instincts et à ce complexe d'inférioritésexuel accréditant qu'une queue de black supplante tout. Je vis en effetune lueur de rage dans ses yeux. Je triomphais.J'étais vêtue cette fois-là. J’avais conservé mes bas-résille et mesescarpins à talons hauts. Grimée, fardée je devais ressembler à unclown. Je n’avais de cesse de bailler. Manifestement la séance d'avantm'avait fatigué. N'y tenant plus mon bedeau s'emporta : « Je ne sais ceque vous avez mais vous n'y êtes pas. Est-ce à cause de ce monsieur quej'ai vu sortir tout à l'heure ? Sans doute une de vos connaissances oùun cousin de la belle famille ? Je goûtais la morsure et la cruauté deson ...
... propos. Le petit marquis recherchait la bagarre. Enfin il sortit deses gongs en rejetant son masque.Pour toute réponse et le fixant droit dans les yeux, je vins à ce momentà écarter mes cuisses, geste théâtral et des plus ostensibles. Je luioffris le spectacle cru d'une chatte lisse car épilée. Il ne l'avaitjamais pu observer avec tant de menus détails bien qu'il l'eût vusûrement dans quelques-unes de mes vidéos. Il marqua un moment d'arrêtcomme saisi, foudroyé. Il ne trouva pas le moyen de se reprendre. Ilétait malheureux de cette défaillance. Je le tenais en flagrant délitmon Tartufe. Impitoyable je lui jetais alors : « Que t'importe qui jereçois ? C'est un ami et il me fait du bien ! »Penaud il baissa la tête et se confondit en excuses. Il avoua sonridicule : Oui il n'avait pas droit à me faire la leçon ni à quiconque.Il prétexta qu'il était fatigué. Qu'il avait passé une mauvaise nuit. Ilétait désolé de m'avoir montré son plus mauvais visage. Il aimait ne passe départir de son sang froid et de sa bonne humeur. Il me promit qu'onne l'y reprendrait plus. Il me demanda que je lui pardonne ce que je fisvolontiers. Entre temps j’avais refermé mes cuisses. Je faisais comme side rien n'était. Je n'en dis pas moins très sentencieuse : « Si je telasse ou t'exaspère, on peut arrêter. »Il eût à ce moment son même regard triste. Il ne répondit rien. Il seleva et regarda par la fenêtre du salon. Il faisait beau. Il devait sedire que la vraie vie l’appelait là-bas et qu'il lui fallait ...