1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (9)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Divers,

    ... de la chasse d’eau. « Le petit trou du cul d’Eva…. J’adore ton petit trou ! » J’enfonce l’index en entier. Eva frissonne, tandis que je me mets à lui ramoner son trou. Pui j’y rentre un deuxième doigt. Cette fois, elle commence à gémir. « Je vais t’enculer, et tu vas aimer ça ! » dis-je, très excité, à la vue de ses fesses rondes et de son trou. Je place le gland décalotté sur l’orifice anal, et je pousse. Eva pousse des petits cris, mais je progresse peu à peu dans son anus, jusqu’à ce que mes couilles atteignent ses fesses. Puis, je commence à la ramoner, lui arrachant des gémissements et des gloussements à chaque mouvement. « Salope ! Tu aimes te faire prendre par le cul, n’est- ce pas ? » « Oui ! Oh oui ! » Répète-t-elle plusieurs fois. Puis, au bout d’un moment : « Je prends ton con, maintenant ! » Elle, toujours penchée en avant, je rentre facilement dans sa chatte, déjà bien mouillée. Et je me mets à la ramoner un bon moment, puis, par précaution, je me retire… « Assieds-toi sur la cuvette et offre-moi ton visage ! » Je me masturbe frénétiquement avant de lâcher des jets de foutre épais qui s’étalent sur son visage. « Ca va pas être facile pour nettoyer tout ça…. Tu aurais pu y penser, avant, Bob ! » Gémit-elle. « Il y a un lavabo et de l’eau à côté… cela devrait aller. » Au moment où Eva se relève, on entend un aboiement, tout proche. « Quelqu’un vient ! » fait Eva, paniquée. La porte de la cabine possède une petite ouverture, à hauteur du verrou : j’observe, et ...
    ... d’après ce que je peux voir, il semble bien que le chien soit seul. Alors, avec précaution j’ouvre le verrou et entrouvre la porte. Le museau d’un chien apparait. Et derrière lui, personne. J’essaie de le repousser, mais il parvient à se faufiler dans la cabine. C’est un genre d’épagneul. Eva, qui a remis sa minirobe, le regarde avec méfiance. Mais il ne semble pas sauvage ; je parviens même à le caresser un peu. Les choses se gâtent quand il s’approche d’Eva. Elle a ses orifices encore pourvus de sécrétions odorantes, sans parler de son visage maculé de traînées de sperme. Le chien lui renifle les genoux, puis les cuisses, et maintenant, il lève les yeux vers elle, la queue frétillante. Eva se trouve dos à la paroi, et il cherche visiblement à atteindre son entre- jambes. « Bob ! Empêche-le ! Regardes, on dirait qu’il veut…. » Eva ne sait plus comment faire, et de mon côté, je ne parviens pas à écarter le chien, qui s’obstine à vouloir renifler l’entre-jambes d’Eva. Elle croit avoir une bonne idée en caressant la tête du chien, comme pour le distraire. Mais, alors qu’elle se penche en avant, celui-ci en profite pour passer sa langue sur son minou. Eva pousse un petit cri de surprise et se redresse aussitôt. Mais je remarque qu’elle ne se lamente plus de mon inaction, et semble en train de voir les choses autrement. « Si tu….le laissais faire… peut-être que…. » Hasardai-je, voyant ses hésitations « Tu veux que je me laisse… lécher par lui ? Tu plaisantes…tu me prends pour qui ? » ...
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