1. Sieste tropicale


    Datte: 04/09/2018, Catégories: fh, fépilée, vacances, hotel, Oral

    ... Le jeu de clair-obscur de plus en plus accentué dans la chambre fait encore plus ressortir le velouté de votre peau, et crée un jeu d’ombres qui cache presque intégralement ce que la disparition du drap et la cambrure venaient de dévoiler. Mon excitation est maintenant palpable à travers le pantalon de coton fin que je porte. Mais je ne suis pas non plus homme à céder à mes instincts dès qu’ils se montrent. Et je décide de faire patienter cette croissante émotion, et de continuer de jouer de vos atours. Le carré de soie n’a plus bougé depuis votre premier mouvement, et il couvre chastement l’endroit le plus intime de votre anatomie, endroit que je me suis plu à honorer de mille façons tout au long de la nuit que nous venons de passer ensemble. Mes doigts et ma langue se souviennent encore de la douceur de cette peau, de sa texture si élastique, de son parfum musqué. Je me demande ce qui sera dévoilé quand je ferai glisser le tissu plus bas. Je ressens cette émotion si particulière de la première fois, du premier effeuillage. J’ai beau avoir caressé ce corps sur chaque centimètre carré, j’ai l’impression de le découvrir. Et je sais que cette impression se répétera encore et encore, éternellement peut-être. Je trouve enfin le courage de briser ce moment, et la soie reprend sa route, chaque millimètre glisse sur cette peau si pâle, qui n’a sans doute jamais vu le soleil, et je devine que la sensation de ce glissement doit être divine pour vous, un effleurement de soie sur une ...
    ... peau soyeuse. Votre réaction est presque immédiate, et votre genou gauche remonte encore de quelques centimètres, votre cambrure s’accentue, comme si dans votre sommeil votre inconscient s’ouvrait à ces caresses. Quand le coin de tissu tombe entre vos jambes, je vois enfin apparaître le temple où j’ai déjà pris tant de plaisirs, et d’où je tirerai encore beaucoup de joie, dans peu de temps. Les contrastes n’ont fait que s’accentuer au fil des minutes qui viennent de s’écouler, et je distingue à peine ce que la fente de votre fessier a à offrir. Votre pubis est encore totalement invisible dans votre position, et même avec un éclairage parfait je ne pourrais pas apercevoir la naissance de votre sexe, cet endroit mystérieux où la peau s’ouvre en deux lignes de plus en plus accentuées, séparant une vallée d’abord vide puis se remplissant très vite d’autres lignes de crête. D’où je me tiens, et de la façon dont vous vous tenez, c’est par l’autre côté que mon regard aborde cette chaîne montagneuse. Le sillon de votre fessier, qui commence très doucement à la naissance de vos reins, s’ouvre et s’enfonce rapidement, jusqu’à atteindre la petite étoile plissée, accident de terrain dans lequel je ne rêve que de retomber, et si on a pu échapper à ce piège délicieux, qu’on ne s’attarde pas trop sur le terrain moelleux de votre périnée, c’est sur une pente nettement plus glissante qu’on peut se retrouver aspiré, au risque de ne pas réussir à atteindre cette pépite qui se cache dans l’ombre ...
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